Top Banner
Adeline Besse, Bachelor 3ème année Graphic/Design ARTISTIQUE jan - fev - mar 2012 PRESSE SPECIALE : Noir & Blanc
19

Revue de presse

Mar 07, 2016

Download

Documents

Adeline BESSE

Projet scolaire revue de presse artistique sur le thème du noir et blanc
Welcome message from author
This document is posted to help you gain knowledge. Please leave a comment to let me know what you think about it! Share it to your friends and learn new things together.
Transcript
Page 1: Revue de presse

Adeline Besse, Bachelor 3ème année Graphic/Design

ARTISTIQUEjan - fev - mar 2012

PRESSE

SPECIALE : Noir & Blanc

Page 2: Revue de presse

1

EDITO

A cette époque de l’année, où la lu-mière diminue pour laisser place à la nuit, la revue de presse de ce mois de décembre a décidé de se concentrer sur l’art en Noir et Blanc.Qu’il s’agisse d’oeuvres anciennes, telles que présentées dans l’exposition «Lewis Hine» à Paris ou d’oeuvres plus contemporaines comme nous pour-rons le constater avec cette rétrospec-tive sur le travail de Tim Burton, l’art en noir et blanc ne cesse d’inspirer et de se renouveler, pour preuve, le film «The Artist» réaliser par M. Hazanavicius. C’est ce que nous allons découvrir dans cette revue de presse, qui traitera de l’actualité Artistique en France comme à l’étranger.

Page 3: Revue de presse

SOMMAIRE

1 Actualité Artistique en France Paris Metz Calais

2 Actualité Artistique en Europe Londres Lena Vienne Barcelone

3 Actualité Artistique dans le Monde New York San Francisco Durban Dubai

Page 4: Revue de presse

Exposition Lewis Hine, photographiesFondation Henri Cartier Bresson, Paris 07/09/11 > 18/12/11

http://www.slash.fr/27/09/2011

Afin d’expliquer son œuvre, l’auteur de l’ar-ticle tend à remettre l’artiste, Lewis Wickes Hine, dans le contexte économique, politique et social de la fin du 19ème siècle aux Etats Unis dans lequel il a vécu. Loin de la volonté unique de recherche de beauté du cliché, Lewis Wickles Hine essayait avec ses photo-graphies, d’appuyer sa lutte pour une justice sociale (défense des ouvriers et des immi-grants, combat contre le travail des enfants). Il cherchait avant tout à montrer le visage des laissés pour compte du développement économique au travers de clichés réalistes, mélangeant souffrance et humanité. Visant à frapper l’attention de celui qui les regarde, son engagement le poussait ainsi à mettre en scène ses sujets, afin qu’ils correspondent au mieux à la vérité qu’il voulait communi-quer au public. Comme le souligne l’auteur, cette collection de 150 tirages, proche du documentaire, est l’une des plus importante au monde et provient de l’international Mu-seum of Photography and Film of Rochester.

AVISCe que j’ai apprécié dans cet article c’est la mise en avant de l’humanisme de Hine, qui explique le travail qu’il a réalisé. On apprend que l’esthétisme du cliché était moins impor-tant que le message qu’il voulait faire passer au public pour le sensibiliser aux problèmes sociaux de l’époque.

Actualité Artistique en France1

Page 5: Revue de presse

MetropolisLa Cinémathèque française, Paris19/10/2011 > 29/01/2012

http://www.exponaute.com21/08/2011 L’auteur nous dévoile l’exposition sur le film Metropolis de Fritz Lang (1927), l’un des films muets les plus célèbres de l’histoire du ci-néma. La version proposée par la Cinéma-thèque française est enrichie de quelques pièces inédites provenant de ses propres col-lections. Cette exposition permet de découvrir le film à travers son propre scénario, du pro-logue dans la cité moderniste à la séquence finale dans la cathédrale. Les six grandes sé-quences du film (La Cité des Fils ; La Ville Ou-vrière ; La Ville Haute ; Le Laboratoire Rotwang ; Les Catacombes ; La Cathédrale) servent deparcours à l’exposition et sont illustrées par des projections et des pièces uniques : dessins ori-ginaux des décorateurs, robot de la « femme-

AVISL’article présente très bien le contenu de l’expo-sition, mais ne donne malheureusementpas de résumé du film et ne parle pas non plus de ses premières critiques. Car il faut se rappeler que si Metropolis fait aujourd’hui partie des grands films à connaître, sa sortie en 1927 fut un véri-table fiasco et les critiques ridiculisèrent le film.

ANNEXERésumé du film :Métropolis en 2026, est une fabuleuse méga-pole futuriste organisée selon un système de castes. Des ouvriers travaillent dans la ville souterraine pour assurer le bonheur de ceux qui vivent à l’étage des hommes libres, dans les jardins suspendus de la ville. Entre les deux niveaux, des technocrates s’assurent du bon fonctionnement des machines. Mais un androïde mènera les ouvriers à la révolte…

ma chine », costumes, appareils, photos de plateau…La Cinémathèque française a la chance, grâce à Lotte H. Eisner, sa première conservatrice, proche collaboratrice de Henri Langlois et amie de Fritz Lang, de posséder une collection unique au monde : plus de 800 photographies montrants les plateaux originaux de Metro-polis, ainsi que des dessins des décorateurs Erich Kettelhut et Otto Hunte, le robot reconsti-tué par Walter Schulze-Mittendorff… Cette ex-position présente des dessins jusqu’ici iné-dits en France, ainsi que la spectaculaire série de têtes sculptées par Schulze-Mit-tendorff : La Mort et les sept péchés capitaux.

Page 6: Revue de presse

L’exposition Tim Burton débarque à Paris en 2012 ! Cinémateque de Paris07/03/12 > 05/08/12

http://www.lapageculture.com06/06/2011

Dans cet article, l’auteur annonce avec un enthousiasme non dissimulé l’exposition sur le travail de Tim Burton à la Cinématèque de Paris dès mars prochain. Après avoir voya-gé au Musée d’Arts Modernes de New York, à Toronto ainsi qu’à Melbourne, l’exposition dédiée au ténébreux réalisateur posera offi-ciellement ses valises en France l’année pro-chaine. Comme le rapelle l’auteur, il est temps de ressortir tous les vieux (et récents) DVD de Tim Burton de notre dvdthèque, histoire de se replonger dans l’univers du génialissime réalisateur. D’ici le printemps 2012, le public aura peut être la chance d’admirer de ses propres yeux l’envers du décor. S’étalant sur près de 600m², ce gigantesque événement

culturel résèrve aux « Burtonphiles », plus de 700 pièces toutes aussi uniques que décalées. Durant cette occasion spé-ciale, le travail de l’artiste sera dévoilé au grand jour, avec au programme dessins, sculptures, story-boards, croquis, court-mé-trages, costumes et accessoires des films réalisés par ce génie du 7ème art. Et pour le plus grand bonheur des fans et celui de l’auteur, l’exposition laissera place à des ren-contres, débats et conférences en com-pagnie des collaborateurs du grand Tim.Possédant un style reconnaissable par son humour et son univers morbide, Tim burton s’ active encore et toujours pour nous offrir de nouveaux chefs-d’œuvre.

AVISJ’ai beaucoup apprécié cet article, car il est plein d’enthousiasme et l’auteur ne met pas de distance entre le lecteur et lui-même. L’article, écrit à la première per-sonne par un auteur certainement admi-rateur de Tim Burton, pourrait cependant apparaître comme manquant d’objectivité.

Page 7: Revue de presse

LogogrammesCentre Pompidou, Paris12/10/2011 > 02/01/2012

www.centrepompidou.fr10/10/2011

« Ce que je fais en somme, c’est exagérer la naturelle liberté de l’écriture.» tel qu’intro-duit l’auteur, paraphrasant l’écrivain et artiste belge Christian Dotremont (1922-1979) à pro-pos du logogramme qu’il inventa en 1962. Le Centre Pompidou rassemble soixante-dix lo-gogrammes sélectionnés parmi les plus beaux et les plus importants dans plusieurs collec-tions publiques et privées belges et françaises. Dotremont entre très tôt en contact avec les surréalistes belges, après un séjour à Pa-ris durant lequel il rencontre artistes et écri-vains, il fonde en 1947 le groupe « surréa-liste révolutionnaire ». Recherchant « l’unité d’inspiration verbale-graphique », Dotremont propose « des dessins de mots et des pein-tures de langage », habituellement tra-cés avec vigueur à l’encre noire et au pin-ceau sur des feuilles de papier blanc aux formats variables. Les logogrammes sont

AVISJ’ai trouvé cet article plus difficile et tech-nique que les autres traités, de plus le pro-gramme de l’exposition n’est pas très pré-cis concernant son contenu. Néanmoins les origines et les techniques des logogrammes sont ici très détaillées.

des poèmes, écrits en état de grande spon-tanéité, dont les éléments scripturaux, lettres de l’alphabet, chiffres arabes, ponctuations, se dégagent de la norme graphique et se trouvent « distordus, dynamisés, rendus mé-connaissables ». Pour préserver la significa-tion de ces nuées de signes, à la lisibilité me-nacée, Dotremont reporte toujours le poème, l’aphorisme ou le petit dialogue, souvent hu-moristique, au crayon au bas de la feuille, d’une fine écriture d’écolier. En 1976, lors de l’un de ses nombreux séjours en Lapo-nie, Dotremont est accompagné de Caroline Ghyselen, qui photographie « logoneiges » et « logoglaces » tracés avec un bâton dans « l’immense papeterie qu’est l’Extrême-Nord ».

ANNEXELe Surréalisme-Révolutionnaire paraît en 1948 sous une couverture bariolée comme un étendard, six bandes colorées de rouge, de bleu et de jaune, renfermant outre les formulaires d'abonnement ou de souscrip-tion, un texte de Christian Dotremont inti-tulé "La revue la plus vivante du monde", y déplorant la spécialisation à outrance des revues du moment comme la division du savoir. Rejetant de nouveau la sépa-ration entre le surréalisme et la révolution.

Page 8: Revue de presse

Yann Kersalé, Sept fois plus à l’ouestEspace fondation EDF, PARIS28/10/2011 > 04/03/2012

http://www.lefigaro.fr 07/11/2011

Plus qu’une exposition, « Sept fois plus à l’ouest » est une expérience sensorielle dérou-tante. Yann Kersalé, architecte de la lumière, aime ce genre de mise en abîme. Cette plon-gée dans le noir complet, pour mieux dis-cerner les contours de ses fantasmagories éclairées, entraîne le visiteur dans une fiction pleine de rebondissements. L’artiste breton qui a notamment mis en lumière les jardins du Quai Branly retrace un parcours autour de thèmes familiers (l’eau, la nature et l’urbain) à partir d’installations créées in situ l’été der-nier dans sept lieux différents de Bretagne. Il reproduit par des images et des sons captés des morceaux de poésie où l’artifice habille la nature. Un rocher gonflable reflète le chaos du big bang, des tiges couronnées de fleurs de LED flottent au vent dans la nuit bleue, des bandes réfléchissantes entrecroisées ha-billent le plafond comme la structure d’une maison en construction… Chaque œuvre est le résultat d’un instant volé entre le crépuscule et l’aube dans le Finistère. De chocs visuels en ambiances sonores, l’esprit s’évade. On est immergé dans l’univers à la fois minéral et numérique d’un passionné de clair-obscur.

ANNEXEJardin du Quai Branly.Des centaines de joncs lumineux dispersés dans la végétation forment un lac de lumière et changent de couleur selon les variations du temps, dans une gamme de bleu, vert et blanc. Des ambiances différentes sont ainsi créées tout au long de l’année et au fur et à mesure de la pousse des végétaux.

AVISIci l’article nous entraîne avec poésie dans l’univers de Kersalé, où la vue mais aussi l’ouïe sont mises à contribution pour admirer le tra-vail de l’artiste. Néanmoins il est difficile d’avoir une idée visuelle des œuvres réalisées, mal-gré les détails exposés par l’auteur, le mieux étant probablement de voir l’exposition de ses propres yeux et de ses propres oreilles.

Page 9: Revue de presse

Sol LeWitt Centre Pompidou de Metz 09/09/2012 > 09/01/2013

http://www.centrepompidou-metz.fr10/11/2011

L’article traite de l’exposition de l’artiste Sol Lewitt au Centre Pompidou de Metz. L’ob-jectif de celui-ci est de présenter des ar-tistes peu présents sur la scène fran-çaise. Ainsi, le centre d’art contemporain présentera en 2012 une exposition dé-diée à l’artiste Sol Lewitt (1928-2007). L’américain est une des têtes d’affiches de l’art conceptuel et minimaliste. Il est connu pour ses sculptures modulaires géométriques ainsi que pour ses dessins architecturaux. Entourant un corps central fait de dessins muraux, l’exposition se concentrera sur la remarquable et riche carrière de LeWitt en tant qu’artiste et collectionneur. La rétros-pective sera menée dans deux espaces du Centre Pompidou-Metz. Les dessins mu-raux qui ont été selectionnés pour la démons-tration se présenteront uniquement en noir et blanc. Dessinés dans du graphite, peint enacrylique ou avec de l’encre, ses lignes

(droites ou non, brisées ou intermittentes), portes, arcs circulaires, courbes, boucles, figures géometriques plus ou moins compli-quées et “formes continues” sont associés et combinés en formules mathématiques élé-mentaires, explorées par l’artiste. Même s’ils rappellent la tradition des fresques de la Re-naissance en italie, les dessins muraux de LeWitt ont marqués depuis la fin des années 60, une révolution radicale dans le dessin, et d’une manière plus génerale, dans l’art pra-tique contemporain. Dans le même temps, une autre exposition dédiée au travail de l’artiste mais apparemment plus concentrée sur ses dessins muraux en couleurs se tient au Musee de Louvain en Belgique. Ces der-niers aux couleurs vivifiantes de LeWitt se-ront toujours vu comme une idée de base ou un concept et sont directement appliqués sur le mur, selon l’espace de l’organisation.

AVISL’article détaille parfaitement le travail de Sol Lewitt, des ma-tériaux utilisés à la conception de ses oeuvres. Il mêle ce que tout semble opposer, formes graphiques et géométriques à des formules mathématiques. J’ai tout de même regretté de ne pas avoir un bref rappel sur les arts minimalistes et concep-tuels, car l’artiste en était l’un des membres les plus actifs et il est dommage qu’il n’ait pas été remis dans son contexte.

Le minimalisme (ou art minimal) est un cou-rant de l'art contemporain, né dans un groupe de plasticiens au début des années 1960 aux États-Unis, basé sur le principe de l'économie maximale des moyens. Il s'est développé dans d'autres arts comme la musique, la danse,

ANNEXEL'art conceptuel est un mouvement de l'art contemporain apparu dans les années 1960 mais dont les origines remontent aux ready made de Marcel Duchamp au début du XXème siècle. L'art est défini non par les propriétés esthétiques des objets ou des œuvres, mais seulement par le concept ou l'idée de l'art.

Page 10: Revue de presse

DESSINER LA DENTELLESCité internationale de la dentelle et de la mode, Calais 16/01/12 > 05/03/12

http://www.calais-cotedopale.fr25/10/2011

La FRAC PICARDIE nous présente La Cité in-ternationale de la dentelle et de la mode qui conserve plus de 15 000 esquisses, parfois spectaculaires, dont certaines sont devenues dentelles. Pour la première fois, plus d’une centaine d’entre elles sont exposées afin d’il-lustrer la création calaisienne du XIXè me siècle aux années 1950. Pour témoigner de l’actualité de la profession de nombreux prêts d’esquisseurs, descendants d’esquisseurs et industriels ont exceptionnellement accepté de dévoiler une activité volontiers tenue secrète.L’exposition met l’accent sur le travail gra-phique, les sources et les processus d’inspi-ration et les compétences techniques essen-tielles dans l’élaboration de l’art appliqué qu’est la dentelle mécanique. Elle montre le processus de l’élaboration des décors de la dentelle, de la première idée à la réalisation du produit. Ceci est particulièrement mis en valeur à travers l’exemple d’Henry Ball, remarquable esquis-seur à Calais dans les années 1920. En ce qui concerne la période actuelle, les technologies numériques sont évoquées. Un panorama du dessin appliqué au domaine de la dentelle est ainsi dressé sur près de deux siècles, pour en cerner les évolutions et les aspects intangibles.

AVISCet article résume bien le contenu de l’exposition et la face cachée de la création de la dentelle, car on oublie trop souvent qu’avant la réalisa-tion il y a une phase de conception graphique. Cependantt l’article ne parle pas du processus de réalisation, mais on devine que celui-ci reste jalousement gardé par les esquisseurs et qu’il faut se rendre à l’exposition pour le découvrir.

ANNEXEL'esquisseur imagine un motif sur un morceau de calque, le travaille et le modifie à l'aide de l'ordinateur. Plusieurs centaines de dessins sont ainsi créés chaque année. L'esquisseur trouve ses sources d'inspi-ration partout et sans limite. Son génie lui permet d'anticiper au mieux les spécificités des métiers sur lesquels seront tissées ses créations.

Page 11: Revue de presse

Filipino ‘madness’ premieres Festival du Film, Londres20/10/2011

http://www.abs-cbnnews.comLe 21 Octobre 2011 L’auteur de l’article nous présente ici le film de Charliebebs Gohetia « Madness », présenté au Festival du film de Londres. Cet article explore et analyse les difficultés de l’amour à sens unique (grâce au noir et blanc) de deux personnes."Le phénomène naturelle de la folie” suit les relations d’un couple hétérosexuel avec en toile de fond le débat sur la santé génésique aux Philippines Le réalisateur déclare s’être inspiré des his-toires d’amour unilatérales de certains de ses amis qui disaient que c’était une expérience dure et tragique. “J’ai senti qu’en surface, la dynamique de ce genre de relation était simple, mais quand vous y regardez de plus près, c’est très complexe et cela ne peut être compris seulement par des gens qui l’ont déjà ressenti.Tourné entièrement en noir et blanc, ce film utilise une “ opposition binaire” pour explorer la perspective de chaque personnage (l’homme et la femme). Selon Goethia chaque histoire

Actualité Artistique en Europe

a deux cotés l’une noire et l’autre blanche, la partie grise est laissée à l’audience car ils sont les seuls qui après avoir regardé le film, ou même pendant qu’ils le regardent, sont obligés de choisir un camp. “Il arrive rare-ment dans la réalité, d’entendre les deux co-tés d’une histoire, et souvent nous prenons parti, spécialement quand un couple de nos amis se brise. Quand j’ai initialement pensé au concept, j’ai pensé « Que se passe t’il si je me glisse dans la peau de l’un des sujet de cet amour à sens unique ? C’est le côté de l’his-toire que nous n’avons jamais entendu, jamais senti, jamais compris. En ayant deux versions de l’histoire, le public comme spectateur, est pris dans l’esprit de chaque personnage. »Le réalisateur conclut en disant être fier d’être le seul philippin à avoir son film projeté au festi-val du film de Londres.

ANNEXE L’opposition binaire est une structure qui sépare l’image en deux chapitres.

AVISL’auteur laisse ici une grande place de pa-role au réalisateur, plus qu’à lui-même, ce qui a pour avantage d’avoir une explica-tion précise et argumentée sur la concep-tion du film. Par contre de ce fait, nous n’avons pas une critique objective de l’au-teur, son point de vue est peu présent.

2

Page 12: Revue de presse

Anders Petersen City diaryStadtmuseum, Iena, Allemagne10/09/2011 > 20/11/2011

http://lalettredelaphotographie.com15/011/2011

L’auteur dresse un portrait intimiste du pho-tographe Anders Petersen sur son exposition à Iena en Allemagne.Rome, Utrecht, Saint Petersbourg, Paris, Stockholm: le spectateur ne les reconnai-tra peut être pas, mais ces villes font parties des places visitées dans City Diary, l’exposi-tion actuelle du Stadt museum de Iena, dé-diée au travail du photographe suédois An-ders Petersen. Les séries, en format large et (comme tous les travaux de Petersen) en noir et blanc, montrent 100 de ses photographies comme un journal personnel écrit Durant ses voyages, de 2004 à 2010. Depuis toujours intéressé par les imperfections de ses sujets, les images de Petersen représentent les per-sonnages, animaux et endroits les plus diver-sifiés, mais avec toujours une chose en com-mun: l’identification stricte de l’artiste à ses modèles. C’est la base même de son travail. Petersen déclara une fois à propos de ses premiers projets, “parfois je pense que mes photos en disent plus sur moi que sur leurs sujets”. Un exemple clair de cette identification est sa fameuse série des années 60, Café Lehmitz, une sorte d’album de famille d’un café des bas quartiers de Hambourg. Pour ces photographies, il est devenu lui même un client régulier, étudiant le café et ses clients sur une période de trois ans. Sa fascination pour les marginaux ne s’arrête certainement pas là. Au contraire, ses livres présentent un monde rempli de prostituées, somnambules et alcooliques, entrant dans des prisons et établissements psychiatriques confinées. Pe-tersen établit avec ses sujets une relation plus émotionnelle qu’intellectuelle, et les images en résultant sont réalistes, dépouillées de drame, à la recherché de ce qui l’appelle simplement la normalité de ses modèles. «Je ne veux pas une séparation entre nous, ce que je cherche est la chance de m’identifier à eux.»

AVISL’article dresse un portait détaillé du tra-vail de l’artiste, ainsi que la manière dont il aborde la photographie et ses sujets. On découvre ici que les oeuvres de Petersen sont en fait une identification à lui même et non pas une représentation de ses sujets. J’ai trouvé que c‘était un article bien traité, qui offre assez de détails pour comprendre l’exposition sans pour autant être lassant.

Page 13: Revue de presse

La Viennale confectionne un vrai plaisir cinématographic. Vienne, Autriche20/10/2011 > 02/11/2011

http://www.thenational.ae07/11/ 2011

L’auteur introduit l’article de manière poé-tique, déclarant qu’en Autriche, quand l’air devient glacial et que les rues se tapissent d’un feuillage doré, octobre signifie l’arrivée de la Viennale. L’un des plus élégant et des plus complet festival programmé de la sai-son européenne. Avec sa fabuleuse confise-rie et son café culture cosmopolite, Vienne accueille également le seul festival du film dans le monde avec presque exclusive-ment des gateaux, du café et du chocolat.Les films en noir et blanc sont récurrents cette année. Même le prestigieux court mé-trage d’une minute spécialement commis-sionné pour le festival, le “The Three Rs, “ de David Lynch est une rafale cauche-mardesque du surréalisme monochrome.Le très grand gagnant du prix de Cannes, “The Artist”, est un spirituel et superbe rétro-hommage au film muet de l’Age d’or d’Hol-lywood, par le réalisateur français Michel Ha-zanavicius. Mais un autre muet monochrome, le micro budget « Two years at the Sea » par le jeune réalisateur britannique Ben Rivers, s’est aussi avéré curieusement convaincant. Il dresse le portrait d’un ermite vieillissant seul dans une maisonnette délabrée, dans une Ecosse sauvage et reculée, cet ingé-nieux poème audiovisuel occupe un es-pace entre le documentaire et la fiction. Le Monochrome a aussi été très prisé parmi les films indépendants américains à petit budget montrés à Vienne, incluant « Bummer Sum-mer » de Zach Weintraub’s et « The Color Wheel » d’ Alex Ross Perry’s, deux comédies décontractées sur des frères et soeurs aux relations tortueuses partis dans des “road trip” destinés à mal tourner. Le film de Wein-traub est le mieux composé, mais Perry a l’avan-tage en matière d’humour noir et d’étrange rebondissement final. L’esprit impassible des premiers travaux de Jim Jarmusch règne sur ces deux films.

ANNEXEUn court métrage, est un film de cinéma d'une durée plus courte que la durée classique des films commerciaux passant en salle (générale-ment moins d'une heure). On retrouve dans le court métrage les mêmes catégories cinéma-tographiques que le long métrage (film docu-mentaire, fiction, film expérimental, film d'ani-mation, cinéma militant, etc.). Il est toutefois, à signaler que l'écrasante majorité des films d'animation indépendants et des films expéri-mentaux sont des courts métrages, à la fois pour des questions budgétaires et esthétiques.

AVISCe que j’ai aimé dans cet article, c’est son in-troduction poétique, qui nous donne immédia-tement envie de nous rendre à Vienne pour assister au festival et nous offre une descrip-tion élégante du lieu et du festival. Par contre la description de chaque film est très géné-rale, si bien qu’il est un peu dommage que certains ne soit pas plus appronfondis, tel que «The Artist» primé au festival de Cannes.

Page 14: Revue de presse

Claude Cahun expositionPalau de la Virreina, Barcelone, Espagne28/10/2011 > 02/02/2012

http://susanbarwoodphotography.blogspot.com15/11/2011

L’auteur de l’article nous expose ici son point de vue et sa propre analyse sur la rétros-pective du travail de Cahun à Barcelone.Lucie Mathilde Schwob commença à prendre des photos autoportraits quand elle avait 18 ans et continua sur ce thème jusque dans les années 1930. En 1919 elle prend le pseudonyme Claude Cahun et démé-nage à Paris pour vivre avec sa partenaire Suzanne Malherbe (connu sous le pseudo-nyme « Marcel Moore »). Elles collaborèrent en produisant des œuvres écrites, des sculp-tures des photomontages et des collages.L’ambiguïté sexuelle était le centre de la récente redécouverte du travail de Cahun. Née Lucie Schwob elle adopta le plus andro-gyne des noms Claude Cahun et vécu à Paris comme un couple lesbien ouvert. Cahun utilisait ses photos autoportraits pour suggérer toutes formes de représentations de soi-même qui évoquait un élément de la mascarade. L’ex-position concentre en grande partie de nom-breux autoportraits prit entre 1920 et 1930 qui la représentaient de manière différentes.

Le programme de l’exposition explique qu’ils étaient un challenge à la représentation artis-tique de la femme, qui était normalement soit de nature sexuelle soit dans un le rôle de la mère. C’est peut être le cas quand elle entra dans le cercle surréaliste, ces artistes étaient tous des hommes dont l’image des femmes était principalement portée sur une vision érotiqueToutefois, l’auteur pense que c’est aussi sa manière d’essayer de trouver qui elle était vrai-ment, un homme ou une femme, une photo-graphe ou une écrivain, une artiste passive ou une activiste politique. En 1937 elle déména-gea à Jersey et après l’occupation allemande de l’île, fut arrêtée et condamnée à mort avec Suzanne car elles étaient résistantes. Il est visible que dans ses portraits Cahun pou-vait se transformer de manière très masculine à très féminine avec du maquillage et une robe. On peut retrouver une influence de son travail chez certaines photographes d’aujourd’hui comme Cindy Sherman ou Nan Goldin.

AVISJ’ai beaucoup apprécié cet article car il est rédigé par une amatrice, mais son ana-lyse sur Cahun se trouve être très pré-cise et pertinente en tous points. La bio-graphie de l’artiste peut semblée superflue au premier abord, mais elle est nécés-saire pour comprendre l’exposition et l’univers de l’artiste. On y découvre une femme forte et moderne. L’homosexuali-té n’était pas accepté à l’époque pourtant elle n’hésita pas à vivre en couple à Paris;

ANNEXELe surréalisme est un mouvement culturel qui a débuté dans les années 20 et qui est surtout connu pour les oeuvres d'art et les écrits faits par les artistes surréalistes. Les caractéristiques des oeuvres surréa-listes sont principalement la surprise et la jux-taposition inattendues, mais de nombreux artistes et écrivains surréalistes expliquent leur travail comme étant une expression philosophique d'abord et avant tout. Le surréalisme est né des activités Dada mais à partir des années 20, le mouvement se propagea dans le monde entier, affectant les arts visuels, la littérature, le cinéma, la musique, la langue ainsi que la pensée poli-tique, la philosophie et la théorie sociale.

Page 15: Revue de presse

Kshay’ (‘corrode’)Compétition du film dramatique, New York, Etats -Unis 30/09/2011 > 16/10/2011

http://www.cine-vue.com/ 10/11/2011

L’auteur nous présente ici, le premier film de Karan Gour, Kshay (Corrode, 2011), dont il nous fait l’éloge. Il le trouve ambitieux, tant dans sa conception que dans sa réalisation, le petit budget du film et son équipe limitée ne masquent pas la performance de Gour. Kshay est intriguant, avec un rythme bien maitrisé et des arrêts sur image qui semblent aller au-de-là des limitations habituelles des films indiens. L’auteur nous résume l’histoire, celle de Chhaya (Rasika Dugal) une indienne qui semble satis-faite de sa vie modeste jusqu’à ce qu’elle tombe sur une statue de Lakshmi, la déesse indienne de la fortune et de la fertilité. Nous suivons son déclin tragique à mesure qu’elle devient de plus en plus obnubilée par son besoin de pos-séder cette statue, poussée par la croyance qu’elle lui apportera le bébé qu’elle désir. Mais le prix qu’elle devra payer est considérable…

L’article nous explique que Gour joue avec les opposés tout au long du film, variant entre ombres et lumières, pensées intérieures et ef-fets extérieurs, beauté divine et assymétrie répugnante de la vie qui toutes, tournent au-tour de l’opposition la plus fatale : alors que Chhaya tente de construire et fabriquer son propre monde avec Lakshmi en son centre, elle détruit paradoxalement tout ce qu’elle a, dé-vastant tout dans son éveil comme si elle était Shiva, la destructrice elle même. Le film a été comparé à Répulsion de Polanski, mais aussi aux œuvres de Lynchian et des références aux premiers travaux de Nolan dans l’utilisation de couche épaisse visant à brouiller notre vision de la réalité, culminant souvent dans une vi-sion rêvée qui explore la complexité de l’esprit. C’est un film très bien réalisé, dont chaque par-tie semble avoir été produite avec le temps et l’engagement nécessaire. Alors qu’elle a écrit et dirigé le film, Gour a aussi collaboré à l’éla-boration de la bande sonore, avec un résul-tat dépouillé qui magnifie l’intensité de l’image.

Actualité Artistique dans le Monde

ANNEXE, Kshay m’a donné envie de m’intérés-ser au film «Répul-sion» de Roman Polanski auquel il a été comparé. Tourné en 1965 avec Catherine Deneuve, le film s’articule sur une opposition simple entre l’intérieur et l’extérieur, entre l’apparence et la réalité. Tout comme le film de Gour, Polanski offre au regard du spec-tateur l’éffritement de la sanité son person-nage, de part certaines scènes qu’elles soient réelles, ou imaginées par le personnage. Elles soulignent l’instabilité, la désagrégation psy-chique, de celui-ci et glisser du réel à l’imaginaire.

AVISC’est un article intéressant, car il montre que le film sort des clichés des films indiens, on est loin des films aux ambiances festives et colorées de style comédie musicale à la Bol-lywood. Ici le film est en noir et blanc et l’at-mosphère qui s’en dégage est angoissante et pesante. J’aime la manière dont l’article a traité la description technique de ce métrage et la psychologie des personnages, j’ai éga-lement trouvé la comparaison au film « Répul-sion » de Roman Polanski très pertinente, tous deux en monochrome, oppressant traitant de la schizophrénie de leur personnage central.

3

Page 16: Revue de presse

The radical camera: New York’s photo league, 1936-1951Musée Juif et le Musée d’arts de Columbus , New-York Etats- Unis04/11/2011 > 02/03/2012

http://www.nyc-arts.org25/10/2011

Le Musée Juif et le Musée d’arts de Colum-bus présentent actuellement l’exposition : “The Radical Camera : New York’s Photo league, 1936-1951”, la première exposition de mu-sée complète portant sur cette génération et passant en revue l’étendue et les impacts de cette organisation de travail sans précédent. La base de cette organisation, spécialisée dans le documentaire social dans les années 30, la league se diversifie pendant et après la seconde guerre mondiale, explorant l’art de la photographie de rue, plus tard connue sous le nom « d’école de New York ». Puisant dans les ressources de deux grandes collections de musées, l’exposition comprendra 150 ti-rages incluants le travail de Berenice Abbott, Sid Grossman, Lisette Model, Aaron Siskind, Paul Strand and Weegee. Pour replacer la ligue dans son contexte d’origine, l’exposi-tion explorera un certain nombre de sources, desquelles l’idéalisme du groupe s’est inspiré. D’abord, par la convergence entre esthétique et engagement politique dans la photogra-phie ainsi que la filmographie qui caractéri-saient le mouvement photographique des tra-vailleurs des années 20 et 30 en Allemagne et Union Sovietique et sa séparation de la film and photo league, pour mieux appuyer l’indé-pendance et l’impact de cette organisation.

AVISL’article traite de manière claire et objec-tive l’exposition et résume parfaitement ce qu’était la photo s league, qui elle était et ce qu’elle faisait. Néanmoins il aurait été intérés-sant d’avoir une brève description sur le tra-vail de quelque-uns des ses photographes et connaître leur manière de travailler, par exemple si il y avait une mise en scène ou pas et qu’elle était leur approche de la photo.

ANNEXESid Grossman Juin 1913 Décembre 1955 était un photographe américain et co-fonda-teur avec Sol Libsohn de la photo s league. Grossman joua de nombreux rôles à tra-vers l’existence de celle-ci, il organisait des classes de photographie documentaire. Les activités de Grossman en tant que photographe du syndicat dans les an-nées 40 ont conduit à des enquêtes du FBI et à la mise sur liste noire de la ligue en tant que front communiste en 1947.

Page 17: Revue de presse

Francesca woodman, haunting beautyMusée d’Art Moderne, San Francisco, Etats-Unis05/11/2011 > 20/02/2012

http://www.sfexaminer.com11/07/2011

En accord avec l’article Il est difficile d’imagi-ner une artiste à peine sortie de l’université mériter une rétrospective, mais c’est le cas de la photographe Francesca Woodman, 30 ans après sa mort, sa brève carrière de-vient le centre d’intérêt d’une exposition au Musée d’art moderne de San Francisco. Le salon présente plus de 150 superbes pho-tographies de Woodman, la plupart d’entre elles en noir et blanc. Utilisant son corps comme sujet principal, elle se photographiait elle-même nue ou portant des robes vin-tage, souvent dans des intérieurs délabrés.Son visage, à la fois vieux et jeune, intempo-rel à son exploration de l’être humain dans un espace architectural. Elle était fascinée par les motifs : les zigzags formés par le creux d’un bras, l’espace vouté entre les ponts des tiares… Woodman étudia à la Rhode Island School of Design et alla en Italie pour sa dernière année. Ses photos reflètent le temps qu’elle passa là-bas, ainsi que l’époque de sa vie qu’elle passa à New York après son diplôme. Elle mit fin à ses jours en 1981 à l’âge de 22 ans.Selon l’auteur, Woodman était exceptionnel-lement talentueuse et précoce, sa courte carrière représente l’artiste en plein essor, ce n’était ni une femme mature ni une en-fant innocente, mais était dans un moment fertile et tumultueux de véritable maturité.Elle expérimenta également le procédé du diazotype, qu’elle uti l isa pour son projet «Temple», un assemblage de plans qui sug-gère la façade d’un temple grec.

AVISCet article fait l’éloge de la jeune artiste et de la maturité de son travail, détaillant quelques unes de ses inspirations. Cependant Il aurait été intéréssant de savoir quelle était sa dé-marche. Woodman voulait-elle faire passer un messsage au travers de ses photos ou étaient elles essentiellement à but esthétique?

ANNEXELe Diazotype, est un procédé chimique utilisé pour reproduire une image, on le retrouve chez les photographes et dans les photocopieuses.

Page 18: Revue de presse

Sandile Goje's visions of culture Centre d’art africain, Durban, Afrique du Sud16/11/2011 > 15/11/2011

http://www.sowetanlive.co.za15/11/2011

L’auteur nous présente ici de manière élogieuse l’exposition de linogravure réalisé par Sandile Goje et présenté au musée d’Art Africain de Durban en Afrique du Sud.Son travail remarquable amène une grande variété de textures en noir et blanc qui rendent ses créations séduisantes. Goje mélange le passé avec la dynamique du présent, en y apportant une nouvelle énergie et du pouvoir.Il préfère cette representation à la couleur car il la trouve entièrement satisfaisante en gra-vure. “Mon souhait est de partager la nature et les caractéristques de ma culture, avec ceux qui n’y sont pas familier” explique t-il. Depuis 1992 Goje a régulièrement participer aux ex-positions en Afrique du Sud et à l’étranger.En 1997 il gagna le prix de la compétition au PG Glass. Ses travaux ont été également incluent à la photogravure et à la transfor-mation, à l’exposition du festival national ar-tistique d‘Afrique du sud. Son travail fait par-tie de la collection permanente de la galerie de Witwatersrand, MTN Art Insitute, la gale-rie d’art de Johannesburg, la galerie d’art Nelson Mandela et le Moma de New York. Goje est l’un des premier étudiant de la Dakawa Art et Craft Community center, à avoir été contre l’apartheid à Grahamstown.

AVISC’est un article que j’ai trouvé traité avec légè-reté. Car malgré les éloges faites à l’artiste, comme on peut le voir à la liste des musées où se trouvent ses oeuvres, la technique de linogravure est survolée, le procédé et les ma-tériaux utilisés sont inexistants, c’est pourquoi j’ai cherché des informations sur la linogra-vure (voir annexe). Je pense qu’il aurait été intéréssant d’en parler, car c’est une tech-nique qui peut paraître associée à une acti-vité enfantine, alors que ce n’est pas le cas.

ANNEXELa linogravure est un type de gravure sur lino-léum (proche de celle sur bois) qui consiste à enlever les réserves pour créer le blancs du résultat final. L'encre se pose sur les parties non retirées donc en relief; le papier pressé sur la plaque conserve l'empreinte de l'encre.

Page 19: Revue de presse