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1 Immeubles tertiaires Sièges Sociaux Lyon Siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie Lyon Confluence Siège régional Eiffage Lyon Confluence Siège régional Colas Lyon Gerland Siège mondial Sanofi Pasteur Lyon Gerland
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Immeubles tertiaires

Mar 23, 2016

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Laurent JAVION

Sélection d'immeubles de bureau à Lyon
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Immeubles tertiairesSièges Sociaux

Lyon

Siège de la Chambre de Commerce et d’IndustrieLyon Confluence

Siège régionalEiffageLyon Confluence

Siège régionalColas Lyon Gerland

Siège mondial Sanofi PasteurLyon Gerland

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Immeubles tertiairesSièges Sociaux

Lyon

Siège de la Chambre de Commerce et d’IndustrieLyon Confluence

Siège régionalEiffageLyon Confluence

Siège régionalColas Lyon Gerland

Siège mondial Sanofi PasteurLyon Gerland

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Architectes Ingénieurs Associés a été fondé en 1971 à Nantes par un collectif d’Architectes et d’Ingénieurs ayant pour ambition de réunir au sein d’une même structure les compétences nécessaires à la maîtrise d’œuvre globale.

Cette idée de fédérer, autour du projet, les meilleures compétences architecturales et techniques dans le cad-re d’un exercice libéral et indépendant a été reprise par une nouvelle génération d’architectes et d’ingénieurs :

Aujourd’hui 24 associés animent un groupe de 450 col-laborateurs permanents :

150 Architectes et Collaborateurs d’Architectes 200 Ingénieurs et Techniciens 100 Directeurs de Travaux et Pilotes de Chantiers

regroupés dans trois agences principales à Nantes, Paris et Lyon et quatre agences spécialisées à Angers, Rennes, Lorient et Bordeaux.

Les Architectes et Ingénieurs de l’AIA se sont fait une spécialité des grands équipements fonctionnels engag-eant l’un ou plusieurs des grands enjeux suivants :

Exigence architecturale et urbaine spécifique, Contraintes techniques ou technologiques, Engagement environnemental.

Au-delà des équipements importants : collèges, lycées, sièges sociaux, bâtiments tertiaires, équipements cul-turels, qui constituent le cœur de l’activité de AIA, ses métiers de référence sont :

- les établissements hospitaliers publics et privés,- les grands équipements d’environnement (stations de traitement d’eau, de tri des déchets, ...)- les laboratoires,- les équipements sportifs- les grands projets urbains et aménagements urbains.

L’agence lyonnaise d’AIA architectes est née du rapprochement en 2001 d’AIA (Architectes et Ingénieurs Associés), et de l’Atelier de la Rize, créé en 1990 par Albert Constantin, à Lyon.

L’agence s’est depuis développée et structurée pour répondre à une activité en constante progression. C’est ainsi que, notamment, en 2008, un département paysage de l’agence s’est transformé en une société constituée de paysagistes et d’architectes spécialisés dans l’aménagement : AIA Paysages et Urbanisme, animée par James Tynan, Paysagiste.

Dirigée aujourd’hui par Olivier de la Barre, architecte associé, aidé dans cette tâche par deux autres associés - Claire Bertrand pour la partie études, Patrick Hardy pour l’activité chantier - et trois salariés partenaires - Laure Nugier, Guillaume Charton, et James Tynan - l’agence lyonnaise rassemble aujourd’hui un effectif de plus de 45 personnes et diverses compétences, parmi lesquelles :

32 architectes, projeteurs et dessinateurs,3 paysagistes,3 infographistes,1 maquettiste4 directeurs de travaux,1 secrétariat de direction de 2 personnes,1 secrétariat technique de 4 personnes pour études et chantier.

AIA architectes, rodé à la pluridisciplinarité avec les bureaux d’études et les entreprises a ainsi acquis un savoir-faire basé sur les concours d’architecture, les études de projet, et la direction de chantier. Ainsi, AIA architectes intervient régulièrement sur la conception et la réalisation de projets complexes et variés dans de multiples domaines : tertiaire, sportif, culturel, scolaire et universitaire, industriel, hospitalier,…

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ARCHITECTURE

ARCHITECTES INGÉNIEURS ASSOCIÉS

AIA ARCHITECTESAA’E ENVIRONNEMENTINTENSCITÉAIA PAYSAGES & URBANISME

MANAGEMENT DE PROJETS

AIA MANAGEMENT DE PROJETS

CEROC PAYS DE LOIRECEROC BRETAGNECEROC SUD OUESTCEROC CENTRECEROC ILE DE FRANCE

INGÉNIERIE ET ÉCONOMIE

AIA INGÉNIERIE

CERA - EXA CONSEILAIA INGENIERIESCERT - ICM - CER3I - AGIBAT

GROUPE AIA

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Siège de la Chambre de Commerce et d’IndustrieLyon Confluencepage 8 à 11

2007 - 2010Lieu : Lyon Confluence (69)Surface : 3 660 m² SHONCoût : 4,65 M€ HTMaîtrise d’ouvrage : PNI - Groupe CardinalMaîtrise d’œuvre :AIA architectes LyonAIA ingénierie, Be structureAuberger et Favre, Bet fluidesTrompille, économieNathalie Haas, projet d’aménagementSocotec, bureau de contrôleCrédit photographique :Erick Saillet

Siège régional Eiffage Lyon Confluencepage 12 à 15

2004 - 2009Pyramide d’Or 2010 : Prix de l’immobilier d’entrepriseTrophée Constructéo 2008Lieu : Lyon Confluence (69)Surface : 16 500 m² SHONCoût : 26,8 M€ HTMaîtrise d’ouvrage : Eiffage Immobilier Centre EstMaîtrise d’œuvre :AIA architectes LyonArcadis, BET StructureBetom, BET Fluides + SSILe Sommer, BE HQESocotec, bureau de contrôleCrédit photographique :Erick Saillet

Siège régional ColasLyon Gerlandpage 16 à 23

2004 - 2006Lieu : Lyon Confluence (69)Surface : 16 500 m² SHONCoût : 26,8 M€ HTMaîtrise d’ouvrage : Eiffage Immobilier Centre EstMaîtrise d’œuvre :AIA architectes LyonArcadis, BET StructureBetom, BET Fluides + SSILe Sommer, BE HQESocotec, bureau de contrôleCrédit photographique :Erick Saillet

Siège mondial Sanofi PasteurLyon Gerlandpage 24 à 37

1999 - 2005Lieu : Lyon Gerland (69)Surface : 3 998 m² HOCoût : 7,42 M€ HTMaîtrise d’ouvrage : Sogelym SteinerMaîtrise d’œuvre :Pierre Riboulet, architecteAIA architectes LyonAIA ingénierie, Be Structure & économieAuberger et Favre, Be fluidesE.Nove, Be électricitéVeritas, bureau de contrôleCrédit photographique :Erick Saillet

Sommaire

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_Carapace double

Dans le skyline de la presqu’île, se découpe la double carapace d’inox de la CRCI. Double, car déroulée en deux parties – et en quinconce – pour habiller outre la cinquième façade (une toiture “Kalzip”), côté nord, les deux derniers niveaux du bâtiment et côté sud, unique-ment le dernier niveau, ici cependant rehaussé par les locaux techniques de fait habilement dissimulés et na-turellement ventilés. Et si cette peau-ci a été taillée en plaques que soulignent des “lames de couteau”, c’est pour qu’elle puisse capter au mieux la lumière tout en gérant la force des reflets.À l’aplomb de cette superstructure “autonome”se décline le corps principal du bâtiment réalisé en « pierre » de béton blanc. Un corps qui semble là en-core se scinder en deux entités, mais en deux entités dissociées des deux précédentes.La première utilisant sa pierre de béton pour cadrer une ample fenêtre ouverte sur le Rhône. La seconde s’imposant plus compacte mais rythmée par de longues failles de vitrage. Entre les deux se glisse une faille identifiant la double circulation verticale – avec côté Rhône, l’escalier, et côté coeur d’îlot les ascenseurs. Une faille de lumière et de vues offertes sur le fleuve, sur le jardin intérieur et au-delà (dans les étages supérieurs) sur la colline de Fourvière.

Siège de la Chambre de Commerce et d’IndustrieLyon Confluence

En dehors du périmètre de “Lyon Confluence”, mais à quelques encablures seulement de ce vaste projet de restructuration urbaine et le long du quai Perrache – en cette frange-ci marquée par des constructions aux architectures et gabarits disparates – un îlot se recon-struit. Cherche à se “refermer”.Cale les hauteurs de l’un de ses nouveaux bâtiments – le siège de la CRCI – sur celles des HBM inscrits en front de Rhône sur l’îlot voisin.

RUE

RAVA

T

COUR

S BA

YARD

RUE DELANDINE

QUAI PERRACHE

AUTOROUTE A7

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1. Accueil2. Hall3. Salle de conférence4. Salle de réunion5. Attente6. Vestiaire7. Local courrier8. Local fax9. Local poubelles

1. Accueil2. Hall3. Bureaux

1. Attente2. Bureau du président3. Bureau du secrétariat

du président4. Direction générale

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Niveau 0

Niveau 6

Étage courant

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_Plateaux libres

Les aménagements intérieurs ont été confiés à Nathalie Haas, qui a su profiter des plateaux “libres”, dépourvus de tout point porteur, et traversants, pour offrir aux espaces communs (hall d’accueil, salles de conférences et de réunions) comme aux espaces de travail, générosité et luminosité. Cette dernière caractéristiqueétant d’autant plus flagrante, qu’elle a choisi d’installer des cloisons de verre. Lesquelles déclinent toutefois une sérigraphie (en bandes) garantissant aux usagers une certaine intimité.

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Siège régional - EiffageLyon Confluence

C’est au coeur du nouveau pôle économique de Lyon Confluence, qui affiche des valeurs d’éco-quartier, que l’entreprise Eiffage a choisi d’installer ses directions régionales Rhône-Alpes-Auvergne.En développant son projet d’implantation, elle réalise que le terrain acquis et les mètres carrés à construire ici autorisés lui permettent non seulement de satisfaire ses besoins propres, mais aussi de réaliser un bâtiment complémentaire. Bâtiment qu’elle dissocie de son siège en intercalant entre l’un et l’autre une esplanade jardin et qu’elle décide d’ouvrir à la location. Si cet immeuble de promotion offre quatre façades identiques avec, pour les quatre niveaux principaux, une peau blanche de tôles laquées, comme pour signi-fier qu’il s’agit bien là de bureaux “en blanc”, le siège décline quant à lui différentes peaux, mais toutes révé-latrices des ambitions durables en ces lieux portées.

Subtilités colorées

La façade ouest – la façade d’entrée sur la rue du Port – livre un portique monumental en béton blanc et à l’aspect “pierre brochée”, qui cadre une peau de verre “respirante”. Celle-ci intégrant dans son épaisseur les nécessaires protections solaires (stores). Celle-ci libérant encore de son dispositif régulateur quelques baies, accessibles aux pompiers, au positionnement en apparence aléatoire et dont les saillies revêtues de pâte de verre symbolisent, par leurs couleurs distinctes,les différents métiers (et entités) d’Eiffage, ceux qui ont justement permis de mener à bien cette opération, vitrine des savoirfaire du groupe.Quant aux façades est et nord – sur les voies ferrées et sur le jardin interstitiel –, elles intercalent des lames horizontales vitrées et des bandeaux de béton qui assurent l’inertie thermique du bâtiment.Ces derniers étant recouverts d’un isolant (extérieur), d’une étanchéité en film PVC rouge, et enfin d’une grille façon caillebotis en aluminium laqué blanc. Le film rouge s’offrant alors plus ou moins à la lecture, en fonction de l’angle de vue avec lequel l’observateur découvre l’une ou l’autre des deux façades.

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Efficience énergétique

Quant à la façade sud, elle aussi constituée d’une al-ternance de lames vitrées et de bandeaux de béton, elle dissimule ces derniers derrière des brise-soleil inclinés à 64° et constitués d’une structure acier et de panneaux photovoltaïques.Panneaux que l’on re-trouve également en 5ème façade. Les uns et les autres totalisant quelques 1 600 m². De quoi contribuer à l’efficience énergétique des lieux.L’ensemble des dispositifs mis en oeuvre en façades, associé notamment à la compacité du bâtiment, a fait de ce bâtiment un exemple. Un exemple qui fit l’unanimité du jury Constructeo 2008 et qui obtint le trophée récompensant les bâtiments tertiaires alliant respect de l’environnement et frais de fonctionnement réduits.

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Un cœur « ouvert »

Le volume du siège – un parallélépipède de 6 niveaux, creusé en son coeur par une cour intérieure – s’impose par sa simplicité.Ladite cour associant un espace protégé par une verrière à un espace extérieur.Le premier, un atrium double hauteur (rez-de-chaussée et R+1), est investi par le hall d’accueil, qui fait également office d’espace d’exposition. Le second, posé au niveau du plancher du R+1 et ayant valeur de patio, offre aux bureaux ouverts en sa périphérie un traitement paysagerdélicat et contribue avantageusement à la ventilation naturelle des lieux.

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Siège régional - ColasLyon Gerland

Pierre Riboulet était l’architecte du siège social de Colas à Boulogne-Billancourt. Une opération qui scella l’amitié entre l’homme de l’art et le président du groupe : Alain Dupont. Quand Colas, à l’issue du rachat de deux entreprises concurentes, SCEG et SACER, décide de regrouper les différentes forces de frappe, par secteurs géographiques, au cœur de sièges sociaux régionaux, c’est tout naturellement vers Pierre Riboulet qu’elle se tourne pour concevoir et réaliser à Lyon (avant Bordeaux, Nantes et Lille) le premier de ses nouveaux équipements.Cependant, Albert Constantin était l’architecte prés-senti par Sogelym Steiner, maître d’ouvrage de l’opération, pour construire en ce quartier qu’il “maî-trise” parfaitement - il y a bâti le siège Sanofi-Pasteur, restructuré la halle Tony Garnier et la Halle Borie - ledit équipement.Mais, dès lors que le lyonnais réalise que ce pro-jet pourrait lui donner l’occasion de travailler avec l’architecte parisien dont il admire particulièrement le talent, il s’enthousiasme et plaide en faveur d’une col-laboration...Pierre Riboulet, à l’époque soumis aux affres d’une grave maladie, accepte bien volontiers la dualité sug-gérée. Une dualité particulièrement bien orchestrée, d’autant plus qu’Albert Constantin mis tout au long du projet, des études et de la réalisation, un point d’honneur - et l’énergie nécessaire pour y parvenir - à respecter dans les moindres détails l’œuvre du maître incontesté de la modernité, décédé avant de pouvoir vérifier la pertinence de ces choix architecturaux.

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Urbanité tertiaire

Gerland poursuit sa radicale restructuration entre la halle Tony Garnier et le parc des Rives, juste aménagé pour offrir aux lyonnais un intime rapport avec le Rhône, une ligne d’îlots s’étire, dédiés à la construction d’équipements tertiaires. La ZAC créee pour dévelop-per cette urbanité impose un strict cahier des charges - avec un plan masse pré-déssiné libérant notamment une faille longitudinale de 5 m de large, des gabarits “décalés” de quatre niveaux entre les deux corps de bâtiment des modénatures de façades aussi rigou-reuses que monotones, mais révélatrices aux dires des rédacteurs de prescriptions, des activité ici abritées.

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Façades de terres cuites

Au rez-de-chaussée, des bandes alternées sur rythme de Modulor ; au premier niveau, des fenêtres juste creusées dans la paroi ; aux deuxième, troisième et quatrième, trois lignes de verres protégées par un unique “brise-soleil” ; au cinquième et dernier niveau, trois ouvertures pour trois patios dédiés aux trois bu-reaux des directeurs... Le rythme de la façade, ouverte sur l’avenue est soutenu, habillement scandé pour éviter les risques d’une rigueur imposée, sans pour autant contredire les règles du jeu, modifier quelque peu les échelles d’un socle, d’un corps central et d’un bandeau haut. La peau a été réalisée en terre cuite, selon le procédé Terrart, qui autorise une isolation par l’extérieur performante. Sa couleur beige rosé répond à la pierre de la halle Tony Garnier et soutient les jeux d’ombres et de lumières qu’installent les différents sytèmes d’ouvertures.

1- HALL PRINCIPAL2- ATRIUM3- VISIO-CONFERENCE4- BUREAU5- CIRCULATION

1. Hall principal2. Atrium3. Visio-conférence4. Circulation

Coupe transversale

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1 - ACCUEIL2 - HALL PRINCIPAL3 - ATRIUM4 - SALONS5 - TRAITEUR6 - REUNIONS7 - FORMATIONS8 - AMPHITHEATRE9 - VISIO-CONFERENCE10 - COURRIER11 - SERVICES GENERAUX12 - INFORMATIQUE13 - POSTE PC SECURITE

1. Accueil2. Hall principal3. Atrium4. Salons5. Traiteur6. Réunions7. Formations8. Amphithéâtre9. Courrier10. Services généraux11. Informatique12. Poste PC sécurité

Niveau RDC

Accueil mis en scène

Si le bâtiment fut commercialisé par « Sogelym Steiner » en état futur d’achèvement”, il devait toutefois - le client étant identifié - satisfaire les desiderata et ambi-tions de ce dernier. Pour relever le défi d’un regroupe-ment au sein d’un lieu unique d’équipes qui, hier en-core, s’affrontaient sur le terrain de la concurrence, un soin tout particulier a été porté aux espaces communs. L’accueil ainsi se développe bien au-delà de sa fonction première. Il est mis en scène, d’une part par un atrium qui, sur deux niveaux s’installe dans la faille imposée, et d’autre part par une efficace organisation des sur-faces du rez-de-chaussée, confortée par un ingénieux système de cloisons pour l’essentiel fixes mais toujours vitrées et serigraphiées. Espace d’accueil proprement dit, salles de réunions, de formations, de restaurations semblent alors se fondre et confondre - pour regrou-per, pour fédérer... pour apprendre à vivre ensemble, créer une cohésion d’équipe et in fine transformer les mentalités.Un petit amphithéâtre équipé des dernières technolo-gies multimédias, d’une cabine de traduction simul-tanée, accroît encore les possibilités offertes d’un lieu qui se veut ouvert au dialogue, rencontres et autres festivités professionnelles et cordiales. Il est d’ailleurs devenu en quelques mois d’exploitation un essentiel vecteur commercial.

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1. Bureaux2. Secretériat

Accueil3. Réunions4. Photocopies

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1. Bureaux2. Secretariat / accueil d'étage3. Réunions4. Photocopies

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Niveau 5Direction

Espace à vivre

“L’esprit de partage” est réedité à chacun des niveaux - avec les services regroupés ici d’informatique, là juridique... - et notamment au tout dernier qui loge dans les bureaux, ouverts sur de généreux patios, dotés de salles de réunions (...), pour un indéniable confort - des trois directeurs. Le dialogue leur fut ainsi imposé, alors qu’ils réclamaient un niveau par société. Mais il est désormais accepté et même prometteur. Preuve s’il en fallait de l’importance des choix architecturaux - sur une idée originale de Pierre Riboulet - qui ici contribuent sans aucun doute à accélerer la restructuration des entreprises.

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Modularité du rez-de-chaussée

Salle à manger 80 places

3 salons privés

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Atrium - 150 personnes debout

Repas - 120 places assises

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Siège mondial de Sanofi-PasteurLyon Gerland

Un site d’exception

Le site “Sanofi-Pasteur” peut aujourd’hui avec l’ampleur - et le prestige acquis - du quartier, être qualifié d’exceptionnel. S’il est situé au carrefour d’importants axes de circulations et donc avantageuse-ment accessible par tous les employés du siège, il bénéficie sutout d’une ouverture sur le nouveau parc des Rives, lieu de promenades sans doute, mais aussi espace de détente, de lunch possibles, particulière-ment apprécié les beaux jours venus. Il profite encore d’une vue dite “imprenable” sur le Rhône, ses activités fluviales et au delà sur les collines de Sainte-Foy.Proue bâtie de ce nouveau pôle urbain ; le siège qui ici s’érige, en devient le phare, visible de toute part et ga-rant d’une image “à tenir” par toutes les constructions à venir du secteur...

Gerland, célèbre quartier lyonnais qui doit sa renom-mée nationale notamment à son stade et son équipe de football, ne cesse de se métamorphoser. Après la vague immobilière des anées 70-80, peu glorieuse puisqu’elle y inscrivit des bâtiments plutôt massifs et aux menuiseries de couleurs plutôt douteuses, de nou-veaux projets urbains et architecturaux clament enfin haut et fort leur ambitions qualitatives. Témoins privilé-giés de ce revirement : la requalifaication de la rive du Rhône et le développement d’une ZAC qui inscrit son territoire entre la Halle Tony Garnier et le fleuve.Cependant, dès 1995, la Halle Borie, sa réhabilitation et son extension donnaient le ton. Pasteur-Mérieux-MSD, groupement des leaders mondiaux des labo-ratoires pharmaceutiques trouvant en ces lieux en devenir, un certain prestige satisfaisant pleinement leur ambitions de l’époque (...).À l’aube du XXIème siècle, le renouveau urbain se con-firmait avec la réalisation du nouveau siège « Sanofi-Pasteur », le long du boulevard du Pont-Pasteur. Renouveau semblant parfaitement concorder avec le développement de la société, et depuis peu dotée d’une conséquente extension - en attendant une ultime tranche de travaux qui viendrait s’installer en limite du parc des Rives et qui, déjà concotée, frémit pour sortir des cartons.

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1999

La première tranche de travaux du siège mondial du groupement pharmaceutique a été conçue et réalisée avant la création de la ZAC qui aujourd’hui régit le développement du secteur. Si elle ne satisfait donc pas les règles de cette dernière, elle ne fut pas pour autant libre de toute contrainte, Henry Chabert, l’élu en charge de l’urbanisme, imposant déja à l’époque la rigueur de l’orthogonalité. Dont acte, le projet respecte cette directive... mais pour partie seulement puisqu’il souligne aussi l’axe du boulevard du pont Pasteur. C’est ainsi qu’il installe deux corps de bâtiments, l’un le long dudit boulevard, l’autre perpendiculaire à l’avenue Tony Garnier, l’un et l’autre reliés par un vaste atrium, élément clé du programme. ce dispositif présentant en-core l’avantage de libérer sur le boulevard un généreux parvis, élement clé quant à lui de l’accessibilité du siège dans sa première - et deuxième - configuration.

Tranche 1

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Lame écran

Le pont, le boulevard, le carrefour forment une pénétrante au cœur du parc des Rives, une voie presque « rapide », au flux toujours tendu.Construire en limite de cet axe majeur de circulation, c’est lutter contre les déci-bels. La façade nord des deux ailes écartées l’une de l’autre par l’espace de communication, et dé-calées pour que s’installe le parvis des visiteurs, ainsi déploient un bou-clier percé au plus juste. Ces deux lames ont été réalisées en panneaux de béton préfabriqués dont la texture brochée reprend celle de cailloux aux reflets roux, et l’autre semble au contraire parfaitement dé-solidarisé du sol, comme supendue. C’est un niveau partiellement enfoui au-dessous du niveau du terrain et entièrement vitré qui donne cette illusion... Et c’est dans ce dernier que se développe le res-taurant d’entreprise se retournant encore à l’ouest pour profiter pleinement de la vue sur le fleuve, et au loin, sur les collines de Sainte-Foy.

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In vitro

Quant aux façades sud des deux ailes, c’est du verre qu’elles déploient. Du verre transparent ou dépoli au gré d’une modénature rigoureusement orchestrée. Ai-nsi vitrés tout hauteur, les bureaux profitent pleinement du panorama offert, et inversement, tous les prome-neurs du parc tentent de percer à jour les activités de cette entreprise high-tech.Ici, le jeu des déplacements devient spectacle pour tous. C’est in vitro... que les chercheurs opèrent.Les bureaux, standards et fonctionnels, ont été dimen-sionnés pour une ou deux personnes. Mais ils sont à 90% « démodulables », pour accepter toute évolution des pratiques professionnelles. Cloisons acoustiques métalliques avec placards intégrés (côté couloir) et des bandes vitrées pour que la lumière naturelle se diffuse au cœur des circulations, faux plancher généralisé avec câblage informatique... autorisant la flexibilité recher-chée. Le confort thermique était également requis. la climatisation (quatre tubes) et les verres solaires neutres (parfaitement transparents, isolants et ne craignant aucune transformation des couleurs depuis l’intérieur vers l’extérieur) suffisent à satisfaire les exigences. Le store intérieur ne se déroule ici que pour éviter l’éblouissement !Chaque bureau enfin s’éclaire, au gré des besoins - et des plaisirs - de son utilisateur. Point d’éclairage uniforme donc, mais une mise en lumière aléatoire, pour ce bâtiment qui se lit aussi la nuit venue mais qui chaque soir raconte une nouvelle histoire.

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Spectacle mesuré

Ici, comme dans nombre de bâtiments conçus par AIA lyon, c’est le cœur du bâtiment qui domine la composi-tion. C’est l’espace de communication qui se met en scène, qui offre le spectacle d’une société en mou-vement. Un duplex d’ascensceurs vitrés, un escalier dessiné comme une superposition de passerelles de bateau et jetant ses volées d’étage en étage, en offrent une vision rythmé au gré des déambulations et des rencontres. Mais là, le spectacle se veut encore mesuré, l’espace de communication plus serein. Aucun étage ne s’ouvre en balcon sur l’atrium et rares sont les bu-reaux qui déploient à la vue des visiteurs leurs activités.Un mur plein (technique) devient alors support d’outils de communuication et notamment d’un écran géant, et l’unique mur habité qui lui fait face n’exhibe ou ne sug-gère que des activités intermittentes. Seuls les bureaux de passages, les salles de réunions et en partie supéri-eure - en saillie - la proue de la salle ovale du conseil s’y développent.C’est la fonction d’accueil et d’information qui au cœur de cette pièce maîtresse de l’architecture domine. Et si au sol se déroule un asphalte en référence à l’espace public urbain, d’une longue banque en poirier comme du mobilier (fauteuils, tables, pupitres combinés) tout de cuir tapissé, semble se dégager la chaleur requise par la fonction.L’espace de communication enfin, est clos par deux façades de verre. Ainsi, il s’ouvre à l’est sur le parc et à l’ouest sur le confluent du Rhône et de la Saône.Ainsi, il vibre au gré des jeux d’ombres et de lumière.En empruntant les ascenseurs ou les escaliers accro-chés à la peau de verre, la visibilité ou le personnel s’engage, à son insu, dans une promenade presque champêtre. Avec un brin d’imagination, il pourrait même avoir la sensation de marcher sur l’eau... quant aux automobilistes ou aux promeneurs des berges, c’est sans fausse pudeur qu’ils traversent du regard le bâtiment, qu’ils imprègnent du rythme de l’entreprise.

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15

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m

PLA

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E CO

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regard raccord symetriquecolonne seche aspiration aspiseparateur

100

EM.20

EM.21

EM.19

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S

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1UP

1. Accueil2. Espace de communication3. Salle de conférence4. Restaurant5. Cuisine6. Cafeterie7. Zone serveur

Niveau 0

Niveau courant

1

2

36

47

5

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NIVEAU 6 VARIANTE

1. Salle du conseil2. Bureaux3. Terrasse4. Local technique

Niveau 6

14

2

2

22

22

22

2

2

2

2

3

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32

2005

Quand la deuxième tranche de l’opération « Sanofi-Pasteur » devient à l’ordre du jour, le cahier des charges de la ZAC est écrit et irréfutable. C’est un bâtiment stratifié avec trois lames d’épaisseur équivalente mais identifiant une barre à R+5, une faille, et un bâti-ment moindre à R+2, qui ici doit être réalisé le long de l’avenue Tony Garnier. Toutefois, l’alignement sur le boulevard du pont Pasteur est accepté - bâtiment d’angle oblige - par les « autorités » urbaines, à condi-tion que celui-ci s’interrompt, au droit de l’aile princi-pale de la première tranche - ceci de façon à favoriser l’identification de l’orthogonalité du système urbain hier amorcé. La proue nord du bâtiment ainsi tronquée, tout en accentuant l’ampleur du parvis, ne manque pas par ailleurs de signifier l’entrée du nouveau bâtiment, même si celle-ci n’est en aucun cas appelée à être utili-sée par les visiteurs.Entre les tranches 1 et 2, seule une liaison en sous-sol a volontairement été orchestrée. Ce qui, tout en ouvrant le choix des parcours possibles, incite le personnel à des pratiques « extérieures » et transforme le statut initial du parvis en véritable espace de communication. On s’y rencontre, on y engage la conversation...

Tranche 2

Page 33: Immeubles tertiaires

33

Minéral et végétal

La deuxième tranche affirme son autonomie architec-turale, même si sa subtile parenté avec la première réalisation peut échapper à l’observateur attentif...Mais, si son langage appartient sans conteste au reg-istre précédent, il exploite son propre vocabulaire. Ici, l’espace de communication, s’il se pare de bois et de pierre, mutiplie les plantations pour mieux identifier et valoriser un esprit « végétal ». Là, le spectacle offert par le paysage et au-delà par les activités fluviales se livre depuis une terrasse minérale située au droit de la faille (pour partie couverte d’une verrière linéaire), et à l’aplomb de la lâme bâtie basse (côté ouest). Étudiée pour recevoir du public, elle devi-ent un lieu de détente extérieur.

Page 34: Immeubles tertiaires

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Patio et passerelles

L’atrium, l’espace d’accueil « Sanofi-Pasteur » créé dans le bâtiment initial pour devenir le cœur battant de l’entreprise, garde ses fonctions et ses atours. Mais l’extension n’a pas pour autant été dépourvue d’un lieu majeur, qui demain, dans l’hypothèse où ce bâtiment perdrait son statut d’extension pour devenir le siège d’une autre société, pourrait sans contrainte assumer un rôle d’espace d’accueil. Moins spectaculaire sans doute que le précedent, il n’en demeure pas moins attractif. Il se glisse dans la faille requise par le cahier des charges de la ZAC. Il y jette, en toute légèreté des passerelles de liaison. Il y développe un jeu d’escaliers et de rampes lui permettant de s’affranchir des deux mètres de dénivelé qu’accuse son assiette entre ses proues nord et sud. Il y installe un jardin d’essences tropicales que se plaisent à se développer sous la ver-rière. Il s’impose en résumé tel un outil essentiel de rencontres et de communication.

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36

Espace de prestige et de lumière

Espace majeur au traitement chaleureux, l’atrium conforte l’image de « prestige » déjà insuflée par la précédente construction. Lieux de rencontres professionnelles rigoureusement orchestrées, l’auditorium et les salles de réunion, exploités par l’ensemble des entités du groupement pharmaceutique du site « Gerland », proposent un traitement soigné, digne des communications ici traitées. Les bureux ou open-space ouverts sur l’esplanade central bénéficient de sa lumière, abondante mais agréablement tamisée par le feuillage du jardin linéaire. Un feuillage luxuriant qui minimise par ailleurs les vis-à-vis inhérents à la configuration imposée des lieux.Quant aux espaces de travail qui se développent dans les étages supérieurs, ils bénéficient tous d’un éclairage naturel et de vues lointaines ... propices à la sérénité requise.

1. Accueil2. Amphitheâtre3. Foyer4. Reunion

5. Sandwicherie6. Office7. Livraison8. Bureaux

9. Visio-conférence10. Détente11. Informatique12. PC securité

Niveau 0

1

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3

7 8111112

8

89 10

8 8 8 8 8

4 4 4 5 6 6

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Niveau 2

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AIA architectes Lyon

20 rue Lortet 69366 Lyon Cedex 07Tél. : 04 78 62 88 22mail : [email protected] internet : www.a-i-a.fr