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10/10/2015 - 31/01/2016 Musée des Ursulines - Mâcon Hippolyte Petitjean 1854-1929 néo-impressionniste
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Hippolyte Petitjean - musees-bourgogne.org · bourse du département de Saône-et-Loire pour partir étudier en 1872 à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Il entre dans l’atelier

Sep 14, 2018

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10/10/2015 - 31/01/2016Musée des Ursulines - Mâcon

Hippolyte Petitjean

1854-1929 néo-impressionniste

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INFORMATION PRESSE

Hippolyte Petitjean 1854-1929néo-impressionniste

Exposition du 10 octobre 2015 au 31 janvier 2016Musée des Ursulines - Mâcon

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Essentiellement monographique, l’exposition évoque l’œuvre d’Hippolyte Petitjean, artiste néo-impressionniste né à Mâcon, grâce à l’important fonds de peintures et de dessins acquis auprès du collectionneur Léon Sas pour le musée des Ursulines en 2013. Les paysages et l’univers féminin intimiste, chers au peintre depuis son installation à Paris et sa participation au Salon des Indépendants, engendrent peu à peu des compositions élégiaques ambitieuses présentées aux visiteurs grâce à des prêts d’institutions et de collectionneurs particuliers.

Ainsi, Petitjean est replacé dans le contexte des pratiques artistiques de son époque, en regard de ses engagements dreyfusard, anarchiste et de ses amitiés avec Luce (voyages artistiques), Seurat et la famille Pissarro (correspondances).

Aujourd’hui, le musée de Mâcon est riche de 117 numéros d’inventaire : peintures pointillistes, dessins au fusain ou à la sanguine couvrent l’ensemble de la pratique artistique du néo-impressionniste Petitjean.

Des acquisitions régulières depuis 1999, avec l’aide du Fonds Régional d’Acquisitions pour les Musées de France (FRAM) et des Amis des musées de Mâcon, permettent de structurer cette exposition. Celle-ci est complétée par de généreux prêts d’institutions et de collectionneurs particuliers.

Autoportrait au béret, décembre 1915Fusain sur papier, 30 x 22 cm

Musées de Mâcon, inv. 2013.1.2.1 Acquis avec l’aide du Fonds du Patrimoine

et du FRAM Etat-Région Bourgogne

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DE MâCon à PARIS, LES AnnéES DE FoRMAtIon

En tous points, Hippolyte Petitjean a été un artiste indépendant, libre de tout préjugé - artistique ou moral. Pendant la majeure partie de sa carrière, il a présenté peintures et dessins au Salon des Indépendants de 1891 à 1929, année de sa mort. né à Mâcon le 11 septembre 1854, 48 rue du faubourg de la Barre, dernier enfant d’Achille Petitjean – coiffeur et artiste à ses heures – et de sa troisième épouse Claudine Renaud (originaire de Donzy-le-Pertuis), il est autorisé par son père à suivre des cours à l’Ecole de Dessin de la ville tout en poursuivant un apprentissage chez un peintre-décorateur.Son talent précoce lui permet d’obtenir une bourse du département de Saône-et-Loire pour partir étudier en 1872 à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Il entre dans l’atelier du très académique Cabanel, tout en admirant le travail de Puvis de Chavannes - très actif dans ces années -, à l’instar des artistes néo-impressionnistes. Indépendant, Petitjean l’est dans son comportement : anarchiste, anticlérical, engagé dans la défense du capitaine Dreyfus. Bohême, mais fidèle à la jeune fille qu’il a rencontrée en 1879 – Louise Claire Chardon dont il aura une fille en 1895, Marcelle - . Il est également fidèle en amitiés, celles de ces années de jeunesse en Mâconnais (Juliette […] à Verchizeuil, Pierre Mathieu à Prissé, Ferdinand Dessalle qui devient conservateur au musée de Marcigny), tous s’exerçant à la peinture.

Les années parisiennes élargissent ce cercle d’amis aux peintres Seurat, Luce et à la famille Pissarro. Participant au Salon des Indépendants à partir de 1891, Hippolyte Petitjean est alors un artiste reconnu dans le milieu des néo-impressionnistes.

Bateau-lavoir à Mâcon (vers 1870) Aquarelle, 10 x 12 cm

Musées de Mâcon, inv. 2013.1.3.41 Acquis avec l’aide du Fonds du Patrimoine

et du FRAM Etat-Région Bourgogne

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LE PAySAgIStEHippolyte Petitjean est un paysagiste

de la proximité qui prend le temps de noter sur ses croquis, dans sa correspondance ou dans son Journal des voyages (1891), des informations climatiques et botaniques, qui porte une attention à l’architecture vernaculaire, dans des collines qu’il connaît bien ou dans ses découvertes des proches paysages de l’Ile-de-France. Quelques grands voyages pendant les périodes estivales le conduisent en 1900 dans « le Midi » (lettre à Lucien Pissarro). L’année suivante, il est à Banyuls, chez Maillol et ce séjour donne lieu à de nombreuses aquarelles et peintures exposées aux Indépendants.En 1913, il part pour quatre mois aux Pays-Bas où il rejoint nina […], jeune hollandaise qui lui permettra de découvrir son pays. La réciproque se fera quinze ans plus tard, à Paris.

La construction de sa maison, en 1904, devient le cœur d’un dispositif où le travail en atelier alterne avec des excursions à pied, en bicyclette ou par le chemin de fer. La diversité des techniques employées pour le paysage illustre également la grande liberté de son approche artistique : pour les peintures, la touche pointillée des néo-impressionnistes sera vite abandonnée au profit de l’énergie divisionniste. Les pochades montrent des empâtements qui confinent aux aplats colorés. Dans la seconde partie de sa carrière, Hippolyte Petitjean privilégie la traduction des paysages par l’aquarelle.

Les Arbres bleus, Parc à Sceaux [?] au couchantHuile sur toile, 57 x 55 cm

Musées de Mâcon, inv. 2013.1.1.1Acquis avec l’aide du Fonds du Patrimoine

et du FRAM Etat-Région Bourgogne

La Ferme, 1903Huile sur toile, 38 x 55 cmCollection particulière

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LE PEIntRE DE L’IntIMItéLa douceur de tempérament d’Hippolyte

Petitjean a permis la construction d’un cercle essentiellement féminin. Sa sœur, ses amies de jeunesse, sa belle-famille, ses modèles connus comme Rodolphine et surtout ophélie Bresdin, constituent le socle d’un répertoire inépuisable de celui qui, journellement, dessine, souhaitant rendre compte des scènes du quotidien. Louise Claire Chardon est représentée à tous les âges et dans des attitudes qui montrent une profonde compréhension de l’univers féminin : lecture, couture, repos, au jardin ou dans le cours d’excursions ; il lui apprend également la peinture, comme il le fera pour sa fille.

De l’intimité domestique à l’engagement politique, l’écart n’est pas si grand ; il faut ainsi examiner les portraits de la maturité qui nous sont parvenus : ceux de sa compagne ou celui de Mme Marthe (épouse de Charles-Albert). Si Petitjean traite de questions politiques et artistiques avec le mari, c’est sa femme qu’il peint. La douceur et la chaleur qu’il exprime par l’attitude de la jeune femme sont magnifiées par la gamme chromatique de ce portrait pointilliste dont le pedigree révèle l’importance qu’il a pris dès sa création en 1899 : Salon des Indépendants, galerie Durand-Ruel, avant d’être présenté dans les grandes manifestations sur le néo-impressionnisme, tant en Suisse qu’au Japon. Acquis par préemption de l’Etat en 2005 pour le compte du musée de sa ville natale, il est emblématique de l’exposition et du catalogue qui l’accompagne.

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Portrait de Mme Marthe [Charles-Albert], 1899Huile sur toile, 90 x 83 cm

Musées de Mâcon, inv. 2005.3.1Acquis avec l’aide du FRAM Etat-Région Bourgogne

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LA PEIntURE éLégIAQUE

Une autre section nous permet d’aborder un monde idéalisé, tout empreint de sensibilité, avec ses nombreux nus féminins, le plus souvent des baigneuses. Là où le cycle des saisons rend possible l’expression d’une Arcadie, abordée par le prisme de Pastorale ou d’Eglogue, Petitjean, avec beaucoup de fermeté, expose ses convictions. S’ensuit une série de compositions ambitieuses, comme autant de développements autour des écrits de Virgile et d’Hésiode. La mythologie est également revisitée (Daphnis et Chloé, L’Age d’or de Pan), ou abordée dans des Bacchanales qui le conduiront jusqu’à La Danse du printemps, première étape d’une série sur les saisons : 1905, Le Printemps ; 1906, L’Eté ; 1907, L’Automne. Il se réserve L’Hiver pour la décoration murale de sa propre maison.

Ce monde idéalisé, qui doit beaucoup à nicolas Poussin, Pierre Puvis de Chavannes mais aussi à Jean-François Millet, représente un contrepoint à la réalité quotidienne d’un artiste issu d’un milieu modeste, dont la principale amitié réside dans le peintre social Maximilien Luce.

BaigneuseHuile sur toile, 61 x 38,5 cm

Collection particulière

Printemps, la cueillette des fleurs (1915)Huile sur toile, 65 x 81 cmAssociation des Amis du Petit Palais, genève, inv. 7885© Studio Monique Bernaz, genève

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C’est pourquoi l’exposition et le catalogue rendent à Petitjean la part qui lui est due, celle qui est totalement méconnue, en montrant comment cet artiste a cheminé aux côtés des anarchistes, des mouvements libertaires ou des dreyfusards, en signant du pseudonyme Jehannet (pendant les incarcérations de ses amis Luce, grave) ou de son nom afin de défendre le colonel Picquart emprisonné pour avoir pris la défense du capitaine Dreyfus. La participation de Petitjean aux brochures et aux affiches de la revue des temps nouveaux montre son indéfectible engagement pour les causes qui paraissent justes à toute une génération.

L’engagement libertaire se confond avec la pratique du néo-impressionnisme : la plupart des participants ont œuvré pour la cause anarchiste. Ce double dessein est soutenu par le critique d’art Félix Fénéon (1861-1944), figure du mouvement libertaire et principal défenseur du style qu’il qualifie lui-même de « néo-impressionnisme » en 1886. Ce cercle d’artistes et de personnalités au sein duquel évolue Petitjean sert aussi sa carrière au niveau national et international, rendant possible l’exportation de son œuvre en Belgique et en Allemagne.

Un ARtIStE DES « tEMPS noUVEAUx »

Maximilien Luce (1858-1941) réalise en 1903 le portrait de Fénéon, critique proche du milieu néo-impressionniste et des milieux anarchiste et dreyfusard.

Les figures au premier plan représenteraient Luce, Seurat, Rodolphine et ophélie Bresdin, Louise-Claire Chardon et Charles-Albert. Petitjean signe de son pseudonyme Jehannet dans cette époque où ses amis Jean grave et Maximilien Luce sont emprisonnés.

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Maximilien Luce (1858-1941)Portrait de Félix Fénéon, 1903

Huile sur toile, 140 x 130 cmMusée de la Faïence et des Beaux-Arts, nevers, inv. nP635

L’Aube, 1896Lithographie, 55 x 42 cm Collection particulière

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INFORMATION PRESSEINFORMATION PRESSE

Aucune monographie n’ayant été écrite à notre connaissance, nous avons repris le travail de Lily Bazalgette, soit quinze pages publiées dans Jean Sutter, Les néo-impressionnistes (neuchâtel, 1970). Ayant rencontré Marcelle Petitjean, elle a certainement eu entre les mains les livres de comptes, les carnets de dessins annotés, les journaux et la correspondance des dernières années lui appartenant. Cet ensemble a été mis en vente par la galerie de l’Institut, après l’exposition du Centenaire en 1955, et se trouve pour l’essentiel conservé à la Fondation Custodia (Collection Frits Lugt, Paris) après avoir fait partie de la vaste collection Petitjean de Léon Sas.

C’est pourquoi nous nous sommes attelés à établir une chronologie associant aux éléments d’une biographie les œuvres datées ou exposées au Salon des Indépendants. Il s’agit du principal apport des Musées de Mâcon à la connaissance d’Hippolyte Petitjean. Sur le plan de la collecte des informations, tout spécialement celles du marché de l’art anglo-saxon, la généreuse contribution de Stéphane Kempa a été essentielle ; la ressource iconographique a été décuplée et les échanges sur les techniques et la manière évolutive du peintre et de l’aquarelliste nous permettent de proposer ce catalogue.

LE CAtALogUE

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HiPPoLyte PetitjeAn néo-iMPreSSionniSte1854-1929

176 pages, 255 images couleurtextes : Marie Lapalus et Armelle WeirichChronologie établie par Emilie gil, Marie Lapalus et Armelle Weirichtranscription des journaux et de la correspondance d’H. Petitjean : Emilie gilConception graphique : Marie Lapalus

Infographie : Delphine Stenger, imprimerie Schenck - tournusImpression : Imprimerie Brailly - St genis Laval

Prix : 25 euros ISBn : 2-901400-53-1

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AnIMAtIonS/ConFéREnCES

• Dimanche 25 octobre 2015 à 15 h Hippolyte Petitjean paysagiste par Marie Lapalus

• Dimanche 8 novembre 2015 à 15 h Visite guidée

• Dimanche 6 décembre 2015 à 15 h Visite guidée

• Dimanche 20 décembre 2015 à 15 h Un artiste des « temps nouveaux » par Armelle Weirich

• Dimanche 3 janvier 2016 à 15 h Visite guidée

• Dimanche 17 janvier 2016 à 15 h Les compositions élégiaques d’Hippolyte Petitjean par Marie Lapalus

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Les visuels présentés dans le dossier de presse sont disponibles en haute définition pour la presse sur simple demande :

par mail : [email protected]/par tél. : 03 85 39 90 38

IMAgES PoUR LA PRESSE

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Autoportrait au béret, décembre 1915Fusain sur papier, 30 x 22 cmMusées de Mâcon, inv. 2013.1.2.1 Acquis avec l’aide du Fonds du Patrimoine et du FRAM Etat-Région Bourgogne

Les Arbres bleus, Parc à Sceaux [?] au couchantHuile sur toile, 57 x 55 cmMusées de Mâcon, inv. 2013.1.1.1Acquis avec l’aide du Fonds du Patrimoine et du FRAM Etat-Région Bourgogne

La Ferme, 1903Huile sur toile, 38 x 55 cmCollection particulière

Portrait de Mme Marthe [Charles-Albert], 1899Huile sur toile, 90 x 83 cmMusées de Mâcon, inv. 2005.3.1Acquis avec l’aide du FRAM Etat-Région Bourgogne

Printemps, la cueillette des fleurs (1915)Huile sur toile, 65 x 81 cmAssociation des Amis du Petit Palais, genève, inv. 7885© Studio Monique Bernaz, genève

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nous remercions les collectionneurs privés ayant accordé de généreux prêts pour cette exposition qui bénéficie, tout comme la publication, du soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Bourgogne.

HoRAIRESExposition ouverte du 10 octobre 2015 au 31 janvier 2016.Du mardi au samedi : 10 h > 12 h – 14 h > 18 hLe dimanche : 14 h > 18 hFermé le 1er novembre, le 25 décembre et le 1er janvier

VISItES gUIDéESgroupes (adultes, familles, scolaires…) sur demande au 03 85 39 90 38

ADRESSEMusée des Ursulines - 5, rue des Ursulines - 71 000 MâContél. : +33 (3) 85 39 90 38 - [email protected] - www.macon.frLe musée est accessible aux personnes à mobilité réduite au 5, rue de la Préfecture.

tARIFS2,50 € par personne1,60 € par personne pour les groupes de 10 personnes.La gratuité est accordée :- aux habitants de Mâcon et des communes associées,- aux jeunes de moins de 26 ans, aux enseignants accompagnateurs, aux chômeurs, aux

adhérents de l’association "Les Amis des Musées de Mâcon".Des visites commentées peuvent être organisées, sur réservation, pour des groupes d’au moins 10 personnes. Le montant de la visite sera majoré de 1,60 € par personne.

© Musées de Mâcon/Réalisation : Communication - Ville de Mâcon / Impression : imprimerie municipale/août 2015

Renseignements :tél. : 03 85 39 90 [email protected]

REnSEIgnEMEntS PRAtIQUES