chap2_Chalvin

Dominique

CHALVIN

STYLES DE FORMATEURS

CompétencesAuto-évaluation

Perfectionnement

Illustrations de

Marc C

HALVIN

© Éditions d’Organisation, 2004ISBN : 2-7081-3052-8

Chapitre 2

Quel est votre style de formateur ?

LES 10 STYLES DU FORMATEUR

Autodiagnostic et description

Styles de formateurs

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Quel est votre autodiagnostic ?

Dans le tableau suivant vous trouverez des exemples de phrases pro-noncées par des formateurs en train de parler de leur métier. Indiquez par unscore à quel point ce comportement vous ressemble. Appliquez le barêmesuivant :

– ça me ressemble bien– ça ne me ressemble pas vraiment

2 points0 point

N° PHRASES DESCRIPTIVESRESSEMBLANCE

(2 ou 0)

1 Je trouve les programmes trop lourds : on n’a pasassez de temps pour les échanges.

2 J’ai l’impression que certains stagiaires trouvent queje ne suis plus assez au courant des nouveautéstechniques.

3 J’ai de l’assurance et sais improviser si c’est néces-saire.

4 Je prépare longuement mes stages, en me docu-mentant abondamment, en me tenant au courantdes nouveautés techniques.

5 L’essentiel pour moi est d’être aimé et apprécié desstagiaires, ce qui est en général le cas, sauf ceuxqui ne pensent qu’au programme.

6 J’organise de nombreux travaux en sous-groupes etdes jeux de rôles puis on échange nos impressions.

7 Je suis passionné par les sujets que je présente enstage et je suis en général entouré de la considéra-tion des participants.

8 On me trouve un peu trop amateur et pas assezsérieux. Je reconnais que je m’en tire un peu àl’esbrouffe et que c’est risqué.

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9 Je fais tout pour que les stagiaires acquièrentl’essentiel du programme, en trouvant des astucespratiques pour bien leur expliquer.

10 Je précise régulièrement les objectifs du stage et jefixe un contrat de progrès avec chaque stagiaire.

11 Je prévois des programmes trop denses que jen’arrive pas à terminer dans le temps imparti.

12 Je n’ai plus vraiment besoin de me soucier des pro-grammes, je les connais.

13 Par moment, j’ai le sentiment de tourner en rond etde me répéter sans cesse.

14 Je me méfie des méthodes audio-visuelles et descas : je préfère les cas réels des stagiaires.

15 J’ai de la facilité pour faire un exposé et présenteravec clarté les idées et les concepts.

16 J’arrive bien à répondre à leurs désirs et motivationspour les intéresser.

17 Je n’ai pas de méthodes rigides, je change selon letype de groupe. Je peux être aussi bien très partici-patif que magistral.

18 Je ne prépare pas beaucoup mes stages, me fiant àmon intuition ; en fonction du groupe que j’ai devantmoi, j’improvise, mais c’est parfois un peu juste.

19 Je ne sais jamais trop où je vais, tout dépend del’ambiance du groupe, ce qui me vaut parfois desennuis.

20 Je détermine un itinéraire pédagogique précis, avecdes étapes qui permettent à chacun d’avancer versses objectifs.

21 Je suis un partisan de l’e-learning et de la formationà distance, qui va remplacer les stages.

22 Je suis un spécialiste de la pédagogie des adultes,parce que je l’ai étudié et que je la pratique depuislongtemps.

23 Je ne pense pas qu’animer soit si difficile que cela :il suffit d’avoir quelques bonnes ficelles (anecdotes,exercices, blagues…) pour les rendre satisfaits.


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24 Je m’arrange toujours à faire tout le programme, enminimisant ce qui paraît moins important aux stagiai-res.

25 Je tiens bien mes participants et tout le mondeécoute, mais ils posent des questions montrant qu’ilsn’ont rien compris : c’est un problème.

26 Je trouve qu’il y a trop souvent dans les stages desniveaux très différents et j’ai des stagiaires qui ont dumal à suivre, parce qu’ils ne sont pas à leur place.

27 J’ai du mal parfois à éviter une participation exces-sive et quelque peu anarchique.

28 Je pratique mon métier de formateur depuis trèslongtemps.

29 Je suis un expert compétent sur les sujets que jetraite en formation, autrement je n’accepterai pas defaire ce stage.

30 Certains stagiaires me disent que l’ambiance estsympathique, mais qu’on n’avance pas bien dans laréalisation du programme.

31 Il y a longtemps que les stagiaires ne me font pluspeur, même les plus retords.

32 Mes stagiaires se plaignent d’un manque de conti-nuité dans ma façon d’animer : parfois trop anarchi-que, d’autres moments trop rigides. Ils sont déroutés.

33 Je n’aime pas perdre du temps à dialoguer avec lesstagiaires bavards qui prennent trop de place.

34 On me reproche d’être davantage un grand théori-cien de la pédagogie qu’un praticien expérimenté.

35 Je suis passionné par mon métier de formateur et jeprends un réel plaisir à animer des stages.

36 Je rêve de pouvoir utiliser du matériel pédagogiquesophistiqué, dans des salles spécialement aména-gées pour la formation.

37 On peut dire que je suis un formateur à la pointe dela pédagogie moderne.

38 Pendant la pause, j’en profite pour préparer la suitede mes exposés, regarder et classer mes notes etpréparer les diapos et slides.


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Avant de vous reporter à la page 44 pour déterminer quel style vous uti-lisez pour animer un stage, lisez la description des 10 styles du formateur.

39 Je ne plais pas toujours aux stagiaires « forts enthème » qui me trouvent léger, mais la majoritéapprécie ma pédagogie.

40 Je trouve que certains travaux en sous-groupesn’aboutissent pas, car les participants échangentavec plaisir, mais pas sur le sujet prévu.

41 J’ai ma méthode, très personnelle, et je m’y tiens.

42 Si un stagiaire me contredit ou remet en cause lefonctionnement du stage, je suis troublé et j’ai dumal à faire face.

43 Dans mes stages, on travaille dur et les participantss’investissent fortement dans les différents exercicesproposés.

44 J’ai du mal à me renouveler et je tombe dans la rou-tine.

45 Je prépare plusieurs programmes possibles, desexercices variés, de nouveaux topos en réserve,pour faire face à toutes éventualités.

46 Pour moi, je mets en priorité les stagiaires et leursbesoins, plutôt que le programme prévu.

47 Je prévois des programmes trop chargés que jen’arrive pas à terminer dans les temps malgré unrythme soutenu.

48 Il y a longtemps que je n’ai plus besoin de préparermes stages, je les connais bien.

49 Parfois, mes « trucs » ne donnent plus les mêmesrésultats qu’auparavant.

50 J’utilise beaucoup les moyens audio-visuels pourfaire passer les théories, les méthodes et les techni-ques que j’enseigne.


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Que recouvrent exactement les dix styles du formateur ?

La pratique des formateurs peut être synthétisée selon 10 styles du for-mateur, dont 5 efficaces et 5 inefficaces.

Ou encore 5 styles, qui ont chacun une version efficace et l’autre inefficace.

Ou encore 5 styles qui présentent chacun des dangers, si le formateurse laisse aller à une dérive naturelle.

Dans les pages qui suivent, vous trouverez en face-à-face, côté pile lapratique efficace, et côté face, l’envers de la médaille, le risque d’inefficacitéde ce style.


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Les 10 styles du formateur

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F1

Les praticiens efficaces

F6

Les routiniers inefficaces

F2

Les catalyseurs efficaces

F7

Les gentils formateurs inefficaces

F3

Les compétents efficaces

F8

Les solitaires inefficaces

F4

Les habiles efficaces

F9

Les incertains inefficaces

F5

Les professionnels efficaces

F10

Les modernistes inefficaces

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F 1

LES PRATICIENS EFFICACES

Ils n’ont plus vraiment besoin de se soucier de leurs programmes et deleurs stagiaires car ils connaissent bien leur métier de formateur qu’ilspratiquent depuis longtemps. Ils ont de l’assurance et ils savent improvi-ser si c’est nécessaire. Ils s’en sortent toujours, car ils connaissent toutesles ficelles du métier de formateur. Ils ont mis au point une méthode quileur est très personnelle, sachant mêler exposés, exemples, anecdotesamusantes, exercices ou discussions selon les cas. Ils ont tellementl’habitude que les stagiaires ne leur font plus peur depuis longtemps et ilssavent mettre au pas ceux qui pourraient les gêner et les empêcher deréaliser leur programme dans les temps prévus.


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F6

LES ROUTINIERS INEFFICACES

Le risque d’inefficacité des praticiens

Les praticiens finissent par ne plus se renouveler et ils tombent dans laroutine. Ils ne préparent plus assez leurs stages. Ils font les heures pré-vues, sans trop y croire et sans aucun esprit critique sur le contenu de leurformation. Ils déroulent leur « petit cinéma personnel » (exposés, anecdo-tes, discussions, etc.) sans se rendre compte que certaines façons defaire sont dépassées et « ne passent plus la rampe ». Ils sont devenustrop traditionnels. Certains stagiaires se rendent compte qu’ils ne sontplus très au courant des nouveautés techniques qui concernent leurdomaine : leurs interlocuteurs ont le sentiment qu’ils répètent un peu tou-jours la même chose. La participation des stagiaires est de plus en plusfaible. Ces praticiens sombrent peu à peu dans une routine inefficace.

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F2

LES CATALYSEURS EFFICACES

Ils estiment qu’un bon formateur doit se soucier en priorité de ses stagiai-res. Ils réfléchissent profondément aux besoins et aux motivations desstagiaires et savent prendre les moyens nécessaires à une investigationefficace. Ils trouvent qu’en général on prévoit toujours des programmestrop importants, étant donné le temps imparti et le nombre de stagiairesprésents. Ils ne craignent pas de faire discuter les participants, soit engrand groupe, soit en petit groupe. Ils se méfient un peu des méthodesaudio-visuelles qui leur semblent un moyen parfois superficiel pour moti-ver l'auditoire. Leurs stages sont très animés et intéressants. Ceux qui lesont vécus en gardent un vif souvenir et se sentent différents après tout ceque ces formateurs passionnés ont su leur faire découvrir. Ils disent que lesecret de leur pédagogie est de s’intéresser vraiment aux stagiaires et dese mettre à leur place pour les aider à faire eux-mêmes le chemin qui doitles conduire aux connaissances qu’ils veulent découvrir.


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F7

LES GENTILS FORMATEURS INEFFICACES

Les risques d’inefficacité des catalyseurs

Mais les catalyseurs tombent parfois dans le défaut de la participationexcessive. Certaines séances sont anarchiques et les résultats sont assezmédiocres : c’est sympathique et intéressant mais on ne travaille pasbeaucoup. Ils se laissent facilement entraîner par les bavards et ont troptendance à aligner l’ensemble du groupe sur les moins doués. On passeson temps en travaux de groupe non dirigés qui n’aboutissent pas et leprogramme n’est jamais réalisé. Si on les aime au début, car ils s’intéres-sent aux stagiaires et veulent leur plaire en leur rendant le travail moinsfastidieux, on regrette qu’ils ne soient pas capables de permettre à cha-cun d’obtenir les résultats souhaités.

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LES COMPÉTENTS EFFICACES

Ils savent ce dont ils parlent et s’expriment de façon magistrale. Les per-sonnes qui les écoutent admirent les performances. Bien sûr la participa-tion est faible, mais leurs qualités de conférencier les font très bienadmettre : ils ont une grande foi en ce qu’ils disent, ils connaissent trèsbien les sujets qu’ils traitent. Ils préparent longuement leurs stages en sedocumentant abondamment et se tiennent au courant des dernières nou-veautés techniques. Les très bons stagiaires les aiment bien et suivent.Les autres, tout en les admirant, ont plus de mal à comprendre. Leurscours sont vivants : ils font appel aux moyens audio-visuels nécessairespour illustrer leurs propos. On les respecte, car ce sont des experts dansleur domaine et les écouter est toujours passionnant.


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LES SOLITAIRES INEFFICACES

Les risques d’inefficacité des compétents

Mais ces compétents oublient parfois leurs interlocuteurs qui ont du mal àles suivre. Ces « livres sonores » ont du mal à être lus. Parfois, ces numé-ros de grandes vedettes intéressent ou amusent : c’est un spectacle plu-tôt qu’une formation et il en reste souvent peu dans l’esprit des stagiaires.D’ailleurs ils prévoient des programmes trop chargés qu’ils ne peuventjamais finir, même en accélérant le rythme déjà trop intense des séan-ces de travail. Avec eux, la méthode « interrogative » devient vite « laméthode interrogatoire ». Il n’y a vraiment aucun dialogue : ceux qui sehasardent à poser des questions sont vite remis en place. « Ils tiennentleur auditoire » comme ils disent, mais celui-ci tient de moins en moins àeux hormis quelques disciples qui les entourent de leur admiration. Detoute façon, ils auraient assez tendance à mépriser ceux « qui n’ont pasle niveau et ne comprendront jamais rien ». Il ne leur vient pas à l’espritqu’ils sont peut-être là pour que les stagiaires soient mis à niveau etcomprennent.

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LES HABILES EFFICACES

Ils savent préparer plusieurs programmes « à coulisse » qui leur permet-tent de s’en tirer honorablement, même dans les moments difficiles. Ils nesuivent pas des méthodes rigides : ils savent s’adapter selon les circons-tances et savent être magistral ou participatif si cela est nécessaire. Ilsfinissent à temps le programme en minimisant ce qui est moins importantselon l’avis des stagiaires. Ils plaisent moins aux « forts en thème » qui lestrouvent parfois un peu légers, mais la majorité de leurs stagiaires arriventà de bons résultats : ils s’arrangent pour que tous parviennent à suivrel’essentiel du programme et savent trouver des moyens pratiques pourexpliquer et intéresser. Ce sont des formateurs habiles et débrouillardsqui s’en tirent toujours.


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LES INCERTAINS INEFFICACES

Les risques d’inefficacité des habiles

Mais les habiles ne s’en tirent pas toujours et les stagiaires se plaignentd’improvisation dans les méthodes pédagogiques. Ils ont tendance àchanger rapidement de système s’ils n’ont pas tout de suite un résultatprobant. Par moment, c’est l’anarchie ; à d’autres occasions, ils sont rigi-des. Les stagiaires sont quelque peu déroutés. Ils s’embrouillent danscertaines explications en voulant être savant et dans d’autres circonstan-ces apparaissent vraiment trop simples. Ils pensent qu’animer n’est pas sidifficile, mais leurs stagiaires souffrent de leur manque de préparation. Ilsne prennent pas assez au sérieux leur rôle de formateur et croient que l’onpeut s’en tirer « à l’esbrouffe » dans ce métier. Mais certains le voient etleur font secrètement reproche d’être des amateurs.

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LES PROFESSIONNELS EFFICACES

Ils aimeraient pouvoir s’appeler « anthropogogues »

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si l’expression n’étaitpas barbare ; en effet, pour eux, la spécificité de la pédagogie des adultesest l’élément fondamental qui guide leur action : « il ne faut pas prendre lesstagiaires pour des enfants et les faire retourner à l’école » affirment-ils avecpassion. Car ils aiment leur rôle de formateur et l’assument avec sérieux etenthousiasme. Ils cherchent d’abord à préciser les objectifs de la formationet déterminent l’itinéraire pédagogique qui permettra à tous les participantsdu stage d’acquérir les connaissances prévues, puis de les utiliser et de lesexpliquer à d’autres. Ils savent combiner les différentes méthodes et outilspédagogiques, pour permettre à leurs stagiaires de découvrir et d’atteindreles objectifs définis. Avec eux tout le monde travaille dur, se passionne pourle stage et obtient des résultats. Le secret de leur efficacité tient peut-être àleur grande passion pour leur rôle de formateur associée à une connais-sance précise et approfondie de la pédagogie des adultes.

(1) Experts en pédagogie des adultes, la pédagogie concernant les enfants.


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LES MODERNISTES INEFFICACES

Les risques d’inefficacité des professionnels

Certains professionnels se disent et se croient des formateurs d’avantgarde, très au fait des techniques modernes dans ce domaine. Mais ilsveulent en faire un peu trop et manquent de réalisme : ils prévoient desprogrammes trop lourds, plutôt par souci de modernisme que d’efficacité.Comme leurs projets luxueux et compliqués ne peuvent se réaliser, ilsfinissent par faire un stage assez banal et traditionnel. Pourtant, écouterleurs conférences magistrales sur les méthodes actives est trèsintéressant !… Ils déçoivent ceux qui espèrent de tant de paroles quel-ques actions pédagogiques efficaces. Ils rêvent un peu et veulent tropbien faire.

Quel style utilisez-vous quand vous animez un stage ?

Maintenant, vous pouvez passer à la phase de l’analyse de vos réponsesphrase du test décrit un style ; en additionnant vos points, vous pouvez dé-terminer le style que vous utilisez.

PHRASES CORRESPONDANT…

…AUX STYLES EFFICACES

TOTAL*

Votre score

Maximum possible

N° 3 – 12 – 28 – 31 – 41 PRATICIENS 10

N° 1 – 6 – 14 – 16 – 46 CATALYSEURS 10

N° 4 – 15 – 26 – 29 – 50 COMPÉTENTS 10

N° 9 – 17 – 24 – 39 – 45 HABILES 10

N° 10 – 20 – 22 – 35 – 43 PROFESSIONNELS 10

PHRASES CORRESPONDANT…

…AUX STYLES INEFFICACES

TOTAL

Votre score

Maximum possible

N° 2 – 13 – 44 – 48 – 49 ROUTINIERS 10

N° 5 – 27 – 30 – 40 – 42 GENTILS 10

N° 7 – 25 – 33 – 38 – 47 SOLITAIRES 10

N° 8 – 18 – 19 – 23 – 32 INCERTAINS 10

N° 11 – 21 – 34 – 36 – 37 MODERNISTES 10

* Maximum de points possible pour chaque style : 10.

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Quelle est votre préoccupation principale ?

Chaque phrase traduit une préoccupation particulière. En additionnantvos points découvrez quel est votre souci principal.

PHRASES CORRESPONDANT

…AU SOUCI DE …

Total*

Votre score**

Maximum possible

N° 4- 7- 10- 11- 15- 20- 21-22- 25- 26- 29- 33- 34- 35-36- 37- 38- 43- 47- 50

RÉALISER LE PROGRAMME

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N°1 - 5- 6 -10- 11 - 14 - 16 -20 - 21 - 22 - 27 - 30 - 34 -35 -- 36 - 37 - 42 - 43 - 46

RÉPONDRE AUX BESOINS DES STAGIAIRES

40

N° 8 - 9 - 10 - 11 - 17 - 18 -19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 -32 - 34 - 35 – 36 - 37 -39 -43 - 45

ÉQUILIBRERPROGRAMME ET BESOIN DES STAGIAIRES

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* Maximum possible : 40** Le score le plus élevé vous indique votre tendance.

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Documents

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jai limpression

description styles

cest nces

fonction du groupe

stagiaires acquirentlessentiel

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exemples de phrases